Son père va mal, il a 89 ans, est atteint d’une crise de démence. Simon Liberati décide de lui rendre hommage, de révéler sa dette envers lui, mais surtout de se livrer lui-même, au gré de l’inspiration et des souvenirs. Tout défile, en un éblouissant fatras, sa vie, ses compagnes, ses livres, le compagnonnage épisodique […]...
Les « California Girls » : une chanson des Beach Boys qui marque les années 1960, comme le meurtre rituel, opéré avec d’autres, par la « famille Manson ». Simon Liberati, à qui on doit déjà « Jane Mansfield 1967 » et « Eva », se penche avec minutie sur ce qui fut bien plus qu’un fait divers: la fin d’une époque. Le […]...
Le scandale? Quel scandale? Circulez, il n’y a rien à voir. Sinon, de la littérature, de l’amour, de la poésie. Comme jadis son copain Jean-Jacques Schuhl le fit pour sa compagne Ingrid Caven (qui obtint le prix Goncourt 2000 – un millésime dont on devrait se souvenir), Simon Liberati, l’auteur de Jayne Mansfield 1967 (prix […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.