On avait parlé de Samuel Lee à son arrivée ici même. Ce quadra souriant et beau gosse, né à Hong Kong, qui a voyagé dans toute la Chine, entre Shanghai et Pékin, connait les saveurs de la région cantonaise avec une confondante adresse et ne se contente pas du répertoire de la Chine du Sud. […]...
Cette brasserie très chic du Shangri-La, dédiée à la fleur exotique qui orne le drapeau d’Hong Kong, vous la connaissez par coeur. On y mixe avec science saveurs françaises et asiatiques. Ce que l’on sait moins, c’est que, le premier jeudi de chaque mois, la maison sert un menu vegan proposant une soirée dite « Green », avec […]...
L’Abeille ? La belle table du Shangri-La, gérée par Christophe Moret, qui fut le maestro de Lasserre, après avoir été celui du Plaza-Athénée pour Alain Ducasse. Ce classique sûr, formé jadis aux côtés de Bruno Cirino, qui joue le produit de haute tenue en version d’hiver avec brio. La truffe, chantée à travers un menu de […]...
On vous a parlé plusieurs fois du Shang Palace, la table chinoise – et étoilée – du Sangri-La. Notre correspondant de la Côte d’Azur en goguette en Paris, l’a revisité pour nous. A noter que la maison est ouverte le dimanche ! Le Shangri-La Paris est dirigé depuis juillet dernier par Guy Bertaud. Aussi grand […]...
Cette belle table franco-asiate, gérée de près par le maestro de l’Abeille, Christophe Moret, on vous en a déjà parlé plusieurs fois. Son nom – la Bauhinia – lui vient du nom à la fleur exotique ornant le drapeau de Hong Kong. La déco, en vert céladon, fleuri, signé Pierre-Yves Rochon, articulé sur deux étages […]...
Il s’est aisément coulé dans le moule. Venu de chez Lasserre, ancien de chez Ducasse, élève de Cirino, classique sachant évoluer avec le temps, la saison, surfer sur la mode sans jamais y plonger, Christophe Moret a repris le registre de l’Abeille, laissé en friche par Philippe Labbé en simplifiant la manière maison. Le produit de […]...
Christophe Moret vient d’arriver au Shangri-La, Samuel Lee l’avait précédé. Ce natif de Hong-Kong, qui exerçait au Shang Palace de Wenzhou, est depuis novembre dernier le chef exécutif du chinois étoilé de la maison. Les dim sum en finesse, les préparations aigre doux, les sauces XO pimentée, les cuissons douces et les mijotages lents comme […]...
Il avance à pas comptés, vient d’arriver, mesure le lieu avec prudence. Il y a le Shang Palace pour les émois chinois, l’Abeille pour le grand art à la française et puis la Bauhinia, délicate maison sur deux étages avec sa mezzanine, en rouge et vert, signée Pierre-Yves Rochon, jouant Marie-Chantal chez les Malais. Le […]...
Cette table chic, chère, choc, on vous en a parlé à ses débuts. Elle est désormais la seule table chinoise étoilée au Michelin à Paris. Il y a le cadre feutré, sur le mode sino-asiate, les tables espacées, le service appliqué, la cuisine sur le mode cantonais avec des idées venues des autres régions de […]...
Finalement, le Michelin 2012 aura réussi à nous étonner au Shangri-La, accordant d’entrée deux étoiles (méritées) l’Abeille et une (sujette à caution) au Shang-Palace, en oubliant la belle table franco-asiate de la Bauhinia. Celle-ci ne se contente pas d’offrir tous les jours une cuisine de grande classe, mais vient de créer une formule brunch qui […]...
C’est l’événement chinois du moment. C’est même annoncé depuis un an comme l’événement exotique de l’époque. Cela avance à pas menus, avec des réservations difficiles et au compte-goutte. C’est chic, cher, choc: c’est le Shang Palace, la table chinoise, ou plus précisément cantonaise du Shangri La. On a dit ici tout le bien qu’on pensait […]...
Après une expérience pénible – pour ne pas dire moins – dans une neuve ambassade gourmande du Yunnan à Paris (cf ci dessous au Carnet de Route du 9e), je cherchais une table légère, fine, apaisée. J’aurai bien aimé tester une nouveauté, comme, par exemple, l’une des deux tables du Mandarin Oriental, signées, chacune Thierry […]...
Chic, cossu, seizième, avec des grâces de palace international, savoureux, à la fois complexe et jouant l’épure: c’est le nouveau restaurant gastronomique du Shangri-La hôtel. A coup sûr, un événement gourmand. Il y a le décor de salle à manger bourgeoise de Pierre-Yves Rochon, le service appliqué sous la houlette de Christophe Kelsch, qu’on connut […]...
Voilà enfin, après trois ans et demi de travaux, le mystère dévoilé. Voilà le beau palais de Roland Bonaparte ouvert et restauré, place Iéna, face au Conseil Economique et Social. Le lieu, c’est l’hôtel Shangri-La, est encore en rodage. Mais côté table, la Bauhinia, qui emprunte son nom à la fleur exotique ornant le […]...
C’est la première photo de Philippe Labbé au Shangri-La. « A nous deux Paris! », semble s’écrier, tel un nouveau Rastignac, ce natif de Troyes, qui fit carrière dans la belle hostellerie et les tables de grand style. Son itinéraire? Celui d’un petit gars du grand Est monté à la capitale après un long itinéraire. Cet […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.