Renée Richard, que j’ai connue il y a trente ans et plus en compagnie de sa mère, également prénommée Renée, est une figure incontournable des halles de Lyon qui vaudrait à elle seule la visite pour son stand, son accueil, ses produits. Son saint-marcellin moelleux est légendaire, comme son saint-nectaire au nez de terre, sa […]...
C’est le temple de la gourmandise lyonnaise. J’en parle peu. Pourtant, je n’omet jamais de faire une visite ici même lors d’un passage à Lyon, le temps de faire la bise à Renée Richard, de dire bonjour à Bruno Bluntzer chez Sibillia, de croquer une galette fine aux pralines chez Jocteur, de mirer les étals […]...
Elle règne toujours aux halles sur son bel étal fromager, presque discret, eût égard à sa notoriété. Renée Richard (fille), qui a repris l’étal de maman, est bien la reine du saint-marcellin crémeux, des chèvres du mâconnais, du vacherin, comme du morbier, du laguiole, comme du salers. Son saint-nectaire fermier, joliment terreux et noiseté, avec […]...
Je vous parle de Lyon, des halles, des bouchons, des mâchons, de la gourmandise légère de la capitale des gones, mais j’oublie de vous citer Renée Richard. J’ai une belle excuse: je vous en ai parlé déjà il y a quelques mois. Mais je ne résiste pas à l’envie de vous en redire quelques mots […]...
Mais où ai-je la tête? Je vous parle de Lyon, de Bocuse, de la Mère Brazier, et voilà que j’oublie de citer Renée Richard qui est la star fromagère des halles de la Part-Dieu. Cette fromagère affineuse hors pair, qui porte le même prénom de sa mère, dont elle poursuit la bonne oeuvre, vante avec […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.