« C’était bordélique, donc sympa« , m’a dit Frédéric Lefèbvre, le secrétaire d’Etat au commerce, à l’artisanat et au tourisme, dans le creux de l’oreille, épaté par les quelques 620 personnes- ça fait un gros village!- qui avaient envahi la belle salle d’accueil du Shangri -La pour subir les discours enflammés de votre serviteur, récompensant les lauréats […]...
Voilà, comme promis, le palmarès des montées et des descentes du Pudlo Paris 2011, en exclusivité pour les lecteurs de ce blog Promus à 3 assiettes Taillevent 8e L’Astrance 16e Promus à 2 assiettes Passage 53 2e Jean-François Piège 7e Les Ambassadeurs 8e Frédéric Simonin 17e Promus à 1 assiette Chez la Vieille «Adrienne» 1er […]...
Voici, comme promis, la liste des lauréats de l’année du « Pudlo Paris 2011 » (éd. Michel Lafon, 18,50 €). Ce sont nos coups de coeur. Ils sont jeunes, beaux, dynamiques, gourmands, enthousiastes, professionnels et ludiques à la fois, rigoureux et réguliers, tous aptes à vous convaincre que Paris reste la capitale gourmande que le monde entier […]...
Il a fini par arriver. Plutôt qu’être le dernier de l’an passé, c’est à dire de 2010 – et qui vient de s’achever – il est le premier de l’année qui s’annonce. Tout beau, tout neuf, pratique, juste pour vous. Et enthousiaste pour dix! Il devrait être demain en librairie si les représentants de Michel […]...
Voilà un bistrot qui m’enchante depuis près d’une décennie (8 ans exactement), qui fut le « bistrot de l’année » du Pudlo en son temps, n’a pas bougé d’un iota, sinon en augmentant, mais à peine, le prix de son menu unique, recevant avec chaleur et proposant, au gré de l’ardoise changeante, des choses fines, exquises, drôles […]...
Le bistrot vous le connaissez, on vous a parlé et reparlé. Mais si la mode est passée par là, la qualité est restée, les prix, certes, ont augmenté. Mais la saison de la truffe est là, comme une invite. On vient toujours ici, dans cette petite boîte anodine sur la rue roulante, pour les bonnes […]...
Non, elle n’a pas tout changé. Mais Masayo a donné un coup de neuf, un tantinet moderne à sa petite table d’initiés. Depuis le temps qu’on se moquait de son « non décor », de ses quelques sièges, de ses tables ordinaires, elle s’est dit qu’il fallait réagir. Même si, chez elle, « on ne mange pas les […]...
Il est mon portraitiste de choc depuis 30 ans. Laisser la parole à Maurice Rougemont pour Yam’Tcha, que nous évoquions tout à l’heure par l’entremise de Didier Chambeau, c’est offrir la place à l’image vivante. D’abord le sourire rieur et triomphant, avec son mélange de naïveté et de sincérité, d’Adeline Grattard, ensuite le service de […]...
On active le bouclage du Pudlo Paris 2011 (à paraître fin octobre chez Michel Lafon). Au programme, de nombreuses bonnes surprises, dont les lecteurs de ce blog ont eu la primeur. Plus quelques bides dont l’un des derniers et l’un des plus retentissants au coeur de l’été. Je vous en livre les plus belles lignes. […]...
J’ai dû vous le dire et vous le redire, mais puisque je suis presque au bout de mon pensum, il est doux de le réaffirmer: juillet est, pour moi, un mois de grand labeur. Car c’est celui où j’achève la rédaction et le rewriting (c’est quasiment pareil, me direz vous, mais pas tout à fait, […]...
Cela s’appelle DEPUR, pour « drôle d’endroit pour une rencontre ». Et c’est le coup de coeur de la semaine de Jean-Pierre Espiard. Jean Pierre est depuis vingt ans mon homme de confiance, l’homme qui m’habille (chez Arthur et Fox, rue Vignon), mon tailleur de choc et de charme, celui qui me conseille tel costume en super […]...
Retour brutal à Paris. Juillet est le mois du bouclage effréné du Pudlo Paris – la 21e édition ! -, qui paraîtra fin octobre chez Michel Lafon. C’est le moment de récapituler les bonnes pioches. Et les mauvaises. Voilà l’expérience du Baltimore qui me revient en mémoire, celle d’une table étoilée chez Michelin, confinée dans […]...
Depuis des années, Didier Chambeau est mon avocat gourmet, qui sillonne, à pied, en taxi, en métro, pour le « Pudlo Paris », les rues de la capitale à la recherche de la bonne adresse sucrée/salée du moment. Ce fou de bonnes choses qui écrit avec élégance et humour, disserte avec abondance, n’a pas peur d’en rajouter […]...
Dans la série « je suis parano, mais je me soigne », je passe pour la énième fois devant chez Grenouille, au 52 rue Blanche, en me disant que je suis assez fier d’avoir découvert le premier ce bistrot d’apparence anodine dont le tout Paris de la jeune chronique se gorge depuis quelques temps. Il y avait […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.