` On l’a suivi récemment, en penseur-randonneur, à la montagne, après qu’il ait – longuement – disserté sur une « brève éternité ». Pascal Bruckner, que l’on poursuit depuis « le nouveau désordre amoureux » (en 1977, rédigé alors avec son copain Finky…), s’interroge aujourd’hui sur le repli sur soi et, mieux, sur son chez-soi. Comme Oblomov, héros […]...
Pauvre de nous : voilà qu’on vous parle avec un an de retard de ce livre délicieux ! Pourtant le juste moment est venu de s’y plonger : entre deux raclettes et trois fondues, un peu d’élévation fait du bien. Philosophe et randonneur au long cours, alpiniste tenace et skieur convaincu, Pascal Bruckner revient sur […]...
« L’éternité, disait Woody Alllen, c’est long, surtout vers la fin » Pour Pascal Bruckner, l’éternité se fait brève et sous son titre, en forme de bel oxymore, se cache un neuf paradoxe, d’où surgit une réflexion riche, intense, variée, passionnée sur le nouvel apprentissage de la vieillesse, devenue, de fait, une seconde jeunesse. En effet, depuis […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.