Dans une rentrée littéraire, il faut un méchant, un mauvais, une personne que tout le monde aimerait détester. Le voilà, vrai de vrai, noir de noir, cet anti-héros maléfique. Olivier Guez, dont on loua les Révolutions de Jacques Koskas, s’est colleté le monstre d’Auschwitz, l’abominable docteur Mengele qui échappe à toutes les poursuites, quitte l’Allemagne […]...
Pas de prix littéraire pour Olivier Guez? Ce drôle de paroissien, à qui on doit, chez Grasset, un subtil essai footballistique, Eloge de l’Esquive, aurait pu guigner l’Interallié, le Renaudot, le Fémina (si ces dames n’avaient pas eu peur de couronner un dragueur impénitent), le Médicis, voire le Goncourt qui aurait eu le mérite, cette […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.