Vous adorez le cinéma, son histoire, sa légende, ses stars e ses ombres, mais vous ignorez tout de Max Toppard ? Ce dernier fut pourtant son gourou, son homme mystère, son chercheur de lumière, travailla pour Charles Pathé qui l’envoya à Hollywood, où il fut figurant de D.W. Griffith pour « Naissance d’une nation« , avant d’assister […]...
Quel bout pour quel tunnel ? L’optimisme n’est plus vraiment de mise. Plus de 22000 contaminations par jour en France, la prolifération des variants anglais ou sud-africains, une nouvelle flambée, ce week-end, dans les Alpes-Maritimes, la faiblesse du pourcentage de vaccinés (seul 2 millions et demi dans tout l’hexagone France vendredi 19 février)… bref, rien […]...
Il s’appelle Nicolas d’Estienne d’Orves. On l’appelle NEO, avec un sens évident du raccourci. On l’a souvent chroniqué – et même vertement critiqué sur ce blog. Car ce passionné est un boulimique, qui convainc par ses passions, mettant parfois à côté de la plaque, mais toujours avec entrain, drôlerie, belle humeur. Romancier de talent, gourmand […]...
Néo, alias Nicolas d’Estienne d’Orves : voilà exactement le type d’auteur que l’on suit régulièrement sur ce blog et depuis quelques années. Qu’il soit farceur, charmeur, littéraire, gourmand, disert, jamais rancunier. En tout cas inégal. Son petit dernier est à l’image de toute sa production: faussement profond, exquisement superficiel, joliment parisien, plein de trous (de […]...
Il porte un beau nom de résistant, et ne s’intéresse qu’aux collabos. Mais qu’est-ce qui fait courir Nicolas d’Estiennes d’Orves alias Néo ? Le plus jeune membre du Club des Cent met en scène un critique gastronomique ayant trempé sa plume dans le venin de la presse collaborationniste, cite par ailleurs Robert Courtine, dont l’un […]...
C’est un Paris non seulement amoureux, mais foutraque, bavard, égocentrique, narcissique, redondant, non seulement égotiste (un anniversaire nourri de beuveries au Fouquet’s, la liste de ses appartements dans Paris dont tout le monde se moque), mais aussi un peu mièvre, que narre avec une désarmante conviction Nicolas d’Estienne d’Orves, alias Neo, dans une collection fameuse, […]...
Il est le plus jeune membre du club des Cent et quand il m’adresse son dernier livre avec cette dédicace: « un livre pour gastronomes« , on sent bien qu’il y a de l’humour sous la phrase soulignée d’un point d’exclamation. Plus qu’un brin d’ironie même! Cette « dévoration », qui fait référence au célèbre fait divers de l’étudiant […]...
« La dévoration » de Nicolas d’Estienne d’Orves (à paraître chez Albin Michel, le 20 prochain) sera l’un des événements de la rentrée. Je reproduis ci après ma critique littéraire publiée dans le Point il y a deux ans sur son roman précédent « les Fidélités Successives », récemment reparu au Livre de Poche. Manière de prendre date pour […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.