Pierre Gagnaire booste le Fouquet’s Il gère ses restaurants à lui, de Paris à Londres et de Gordes à Dubaï, tout en veillant désormais sur les nouvelles destinées du Fouquet’s Barrière. Après ceux de Cannes, La Baule, c’est au tour de celui de Paris d’être revu à la manière Gagnaire, à l’aide de son complice […]...
Mon collègue Michel Piot, qui réédite son livre de souvenirs (« Et on vous payait pour ça! », éditions Baudelaire), est devenu peintre amateur et retraité heureux à Carteret. Il n’en demeure pas moins un gourmand de première capable de dénicher pour nous une adresse de derrière les fagots, comme cette auberge rustique, avec pierres et poutres, […]...
Il est persuadé qu’on l’a oublié, qu’il appartient, comme dit Stefan Zweig, au « monde d’hier », alors que la terre entière des cuisiniers l’aime d’amour – lui rendant bien son amour du métier – et qu’il fait partie de notre patrimoine. Michel Piot, que nos lecteurs fidèles connaissent bien, fut le chroniqueur gourmand, éclairé et généreux […]...
Le titre est drôle, le livre se lit avec délice (s) en prenant son temps, d’autant que Michel Piot a attendu ses sept dizaines d’années pour publier son premier ouvrage (il y a même un deuxième, avec un hommage à son père « Il s’appelait Pierre Scize », aux éditions Bénévent) qui conte avec humour et sagacité […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.