Par Philippe Couderc Les Plus Belles Tables de France Originalité : 14/20 Recettes : complexes. Ecriture : 14/20. Illustrations : 17-18/20. Gilles Pudlowski et les 40 valeurs… plus une, celle du photographe Maurice Rougemont, dont le classicisme n’a d’égal que le piqué et les mises en scène. Des restaurants et de leurs êtres, rien ne lui échappe. Album […]...
Une taverne cosy, une winstub à l’ancienne, dans une demeure renaissance qui est la plus vieille de sa ville: je vous en ai déjà parlé. Là voilà qui parle elle-même, grâce aux images délicieuses de Maurice Rougemont. Bois, kelsch, couleurs chatoyantes, recoins chaleureux, belles lumière et gourmandise d’une timbale de volaille sous croûte ou d’une […]...
Le portrait d’une ville hors du temps, de ses maisons à colombage, de ses rues piétonnes, et le coup de chapeau à ses deux maisons de charme: Maison de Rhodes, Champ des Oiseaux, où l’on peut déguster une tarte Tatin au patio, le tout signé de Maurice Rougemont. Pour le seul plaisir des yeux…...
Une quarantaine d’adresses prestigieuses afin de mettre l’eau à la bouche : c’est le menu alléchant du dernier ouvrage de Gilles Pudlowski, Les plus belles tables de France. De Georges Blanc à Michel Troigros, en passant par Paul Bocuse, Michel Bras, Alain Ducasse, Pierre Gagnaire, Michel Guérard, Anne-Sophie Pic ou Guy Savoy, les toques les […]...
C’est un des événement de cette fin de cette fin du mois d’avril. Le livre «les plus belles tables de France» qui est disponible dans les bacs depuis cette semaine, recense une quarantaine des meilleurs restaurants de France, décryptées, analysées par Gilles Pudlowski. Cet écrivain et journaliste gastronomique renommé publie, chaque année, le Pudlo Paris […]...
Bruno Verjus m’a fait l’honneur d’un article sur son blog Food Intelligence! Merci à lui! […] Voici donc Les plus belles tables de France. Elles sont au nombre de 40, « soyons injustes » écrit Gilles Pudlowski, l’auteur et brillant critique dans sa préface. Pour lui, « ni à Londres, ni à New York, ni à Tokyo, ni à Sydney, […]...
Sortie cette semaine des « Plus belles tables de France » (chez Flammarion), signé de votre serviteur et du photographe Maurice Rougemont. Voici, pour les lecteurs de ce blog, en exclusivité, la préface. Soyons injustes : voici les quarante plus belles tables de France. Soyons chauvins et restrictifs : nulle part ailleurs, ni à New York, ni à Londres, […]...
Coup de fil ébloui tôt ce matin de Jean-Luc Petitrenaud. Le motif: il revient d’Obersteinbach, à l’extrême pointe septentrionale de l’Alsace et a découvert, à mon invite, le petit Georges Flaig. Jean-Luc cherchait, pour un prochain tournage de France 5, « un jeune chef qui sorte du lot ». J’ai aussitôt pensé à GF, sauf que je […]...
Lyon bouge, mais Lyon demeure. Les tables tendance, les nouveaux cafés en vogue, les tables des jeunes loups qui ont fait leurs classes chez Bocuse, Lacombe, Blanc et consorts, les Japonais de service ou les Italiens de hasard n’ont pas éclipsé les bouchons de service. Lyon demeure et son bel esprit, veux-je dire, à travers […]...
Un petit retour sur la soirée d’hier avec des photos prises à la volée par Maurice Rougemont. No comment ou presque. De stars en starlettes, de flacons à bulles en assiettes…...
Je vous parlais hier de Lipp, table éternelle, chantée par Léon-Paul Fargue, le piéton de Paris, dont le père et l’oncle avaient imaginé les magiques céramiques. » Lipp, écrit-il en 1932, est à coup sûr un des endroits, le seul peut-être, où l’on puisse avoir pour un demi le résumé fidèle et complet d’une journée […]...
Dans le cadre d’un dossier spécial Lyon pour le Point de cette semaine (« à qui appartient Lyon? »), Jean-Loup Reverier, mon vieux camarade et rédac chef des pages régionales du magazine, m’a demandé un article sur le possible ou plutôt l’impossible successeur de l’empereur des gueules… Le voici, avec des photos du précieux Maurice Rougemont. Il […]...
Il est mon Tony Armstrong Jones. Qui illustra le Nouveau Londres (Plon, 1962) de Paul Morand, traquant dans le neuf visage de la capitale londonienne le visage rieur de l’Angleterre éternelle. A Saint James, Maurice Rougemont s’en est donné à coeur joie. « Saint James était la patrie des excentriques. A leur amour de l’excentricité seul […]...
Il y a, certes, la ville moderne qui se rapproche de la mer, les quartier néo-romains, qui incitent au loisir (Odysseum) ou plaident pour les institutions locales et les affaires (Antigone). Mais Montpellier est, avant tout, une cité du Midi qui se visite le nez en l’air. Les enseignes d’autrefois donnent un tour poétique à […]...
Quand un grand portraitiste rencontre le meilleur chef du monde, ça donne forcément des étincelles. Et cela commence d’abord par une leçon de hareng, devant la baraque à poissons de la plage de Zandvoort: comment le manger sans se lâcher… Il y a ensuite le moment d’avant le repas où le chef se donne l’assurance […]...
« J’ai appelé deux fois Amsterdam pour les frêts Amsterdam avec les mouettes dans sa gare Et le nom de Java chantant sur ses tramways« Ce sont, bien sûr, les vers de Marcel Thiry, le poète belge au long cours, qui fut une sorte de Cendrars chic et éveillé, l’auteur de « Toi qui pâlis au nom […]...
Il est mon portraitiste de choc depuis 30 ans. Laisser la parole à Maurice Rougemont pour Yam’Tcha, que nous évoquions tout à l’heure par l’entremise de Didier Chambeau, c’est offrir la place à l’image vivante. D’abord le sourire rieur et triomphant, avec son mélange de naïveté et de sincérité, d’Adeline Grattard, ensuite le service de […]...
Pour faire un bon reportage, il faut aussi un bon photographe qui traque le bon, l’artisan, l’imprévu, l’essentiel. C’est le rôle que joue Maurice Rougemont, à mes côtés, depuis plus de trente ans. Je lui dois notamment la saga des « Trésors gourmands de la France » (la Renaissance du Livre). Nous avons redécouvert ensemble, à deux […]...
Il est le roi du zinc, le prince de l’argot, l’aristo des dingos. On peut s’amuser avec l’étymologie s’agissant de Gilles Bénard. Ce drôle de paroissien et riant banlieusard, qu’on imagine figurer dans un film d’Audiard et, surtout, dans la scène drolatique de la cuisine des « Tontons Flingueurs », a recréé des lieux hors mode, dans […]...
Irremplaçable, généreuse, robuste, monumentale: c’est la Coupole. Une institution parisienne qui dure depuis les années 1920, fut un lieu de rendez-vous pour tous, un QG culturel, un abri ou un même un club pour les peintres, un carrefour des arts, un dancing, une balise pour les rendez-vous galants et amoureux, un repaire en tout genre, […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.