On la suit depuis ses débuts de chef(fe) à Paris au Mermoz. On l’a un peu perdue de vue après son bref passage à Roquebrune-Cap-Martin chez Elsa, face à Monaco, puis sa résidence au Perchoir de Ménilmontant. On ne pouvait manquer l’ouverture de sa première table. En lisière du plateau Beaubourg et à deux pas […]...
Saint-Emilion capitale gourmande Saint-Emilion, qui prend ces temps-ci l’allure d’un « Mont Saint Michel » de la Gironde, parcourue, de boutiques en venelles, par des hordes touristiques, devient également une capitale gourmande. On connaissait déjà l’Huîtrier Pie, toujours en forme, et l’Envers du Décor, bistrot gourmand qui renouvelle sa palette demeure le QG des vignerons du village […]...
Aux Lyonnais, Marie-Victorine part, Victoria arrive Aux Lyonnais à Paris, Marie-Victorine Manoa, pure lyonnaise, fille d’un as du bouchon – Jean-Louis Manoa alias « le viking » et chef-patron du Mercière de la rue Mercière – quitte son poste de cheffe après deux ans de bons et loyaux services dans le groupe Ducasse. Elle s’apprête à créer […]...
Le Michelin provoque un cataclysme de force 10 en Belgique Lundi 23 mai, depuis le théâtre royal de Mons au coeur de la Wallonie, Gwendal Poullenec annonçait le triomphe des cuisiniers flamands en Belgique, raflant l’essentiel des récompenses : un nouveau trois étoiles avec Tim Boury, élève de Sergio Herrman à Oude Sluis, qui reçoit […]...
Florian Barbarot … quelque part dans les abysses Il a été quart de finaliste à Top Chef saison 10 (c’était en 2019), chef de partie à l’Auberge de l’Ill, puis sous-chef à l’Auberge de la Pomme aux Damps, a travaillé, entre temps, chez Daniel Boulud à New-York et chez Lampart’s, près de Bâle en […]...
Une vallée pour la gastronomie C’est une route enchantée qui ressemble fort à l’antique Nationale 7 et qui conte les saveurs de la France à travers ses richesses gourmandes. De la Bourgogne à la vallée du Rhône, jusqu’à la Côte d’Azur, autrement dit de Dijon à Cassis en passant par Marseille, Aix-en-Provence, Valence et Lyon, […]...
Tel Aviv phare gastronomique Une ville où les gens se promènent sans masques, abondent aux terrasse de restaurants et de cafés comme à l’intérieur, dont l’esprit libre et décomplexé s’exporte dans le monde entier : c’est Tel Aviv. On mange « ‘levantin » ou « telavivien » à Paris, chez Sabich, Pichpich, Adar, Tavline, Shouk, Blitz, Salatim, Mafim, Ima, […]...
La bonne pioche de cette rue proche des Champs ? Ce café années 1920, qui fut jadis un marchand de vins et un bois-charbon, et a été relancé par une bande copains gourmands. Le lieu a gardé son esprit bon enfant, avec ses tables serrées son comptoir, son esprit comme avant. Aux fourneaux, la petite […]...
Hermé l’insaisissable Il a ouvert un corner de douceurs dans l’aéroport JFK à New York, est présent, plus que jamais, à Paris, aux Champs-Elysées, rend visite à Megève à Emmanuel Renaut, le trois étoiles du Flocons de Sel, se hasarde à Singapour, en Corée et au Japon – où il est un dieu vivant. Désormais […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.