Une valeur sûre ? C’est exactement ce qu’on se dit en sortant du Petit Pergolèse de ce bistrot chic aux airs de galerie d’art. Toutes les oeuvres exposées sont à vendre, donnent un côté « pop » à ce qui ressemble aussi à un club d’amis. Alexandra Damas, qu’on connut jadis au Moulin à Vent, rue des […]...
Ils ont repris le Petit Pergolèse il y a trois ans, n’ont rien changé au lieu, y impriment leur discrétion et leur sérieux en un lieu qui abrita jadis le Petit Bedon de Christian Ignace et fut marqué, 17 ans durant, par le déluré Albert Corre. Ce dernier jouait le bateleur de sa maison, le […]...
Après plus de 30 ans de présence rue Pergolèse, dont 17 au Petit Pergo, Albert Corre a jeté l’éponge. L’ancien élève de Joël Robuchon, Alain Senderens, Jacques Cagna, Paul Huyart à la Crémaillère, dans son Orléans natal, a passé a la main à Alexandra Damas. Ironie du destin : cette vrai pro du bistrot, qui […]...
Pour fêter la victoire des Bleus dans la gaîté, on est tout simplement allé chez Albert Corre. Le bonhomme, qui donne le ton et l’ambiance à son auberge-bistrot-galerie, est hors norme. Grande gueule, grand coeur, cuisinier classique de formation, passé il y a longtemps chez le père Huyard à la Crémaillère d’Orléans, avant de fréquenter […]...
On l’avait évoqué dans les Grandes Gueules et leurs recettes. Notre photographe complice Maurice Rougemont, qui se penche pour nous sur ses dossiers et nous dévoile ses « grandes gueules de l’été », a retrouvé quelques belles images d’Albert Corre et de son Petit Pergolèse. Suivons-le… Ah, le Petit Pergolèse ! Passent les plus belles femmes de Paris, […]...
Lamothe Bergeron ? Un bourgeois du Médoc, entre Margaux et Saint-Julien, qui, sur 67 ha, occupe des graves exquises de l’estuaire de la Gironde. Le merlot y représente plus de la moitié de l’encépagement, la vinification s’y fait pour un tiers en fût neufs. D’où ces millésimes charmeurs (2008 avec beaucoup de sève et de fruit, […]...
Il dure, depuis vingt six ans dans sa rue. Un peu moins dans son « Petit Pergo » devenu un bistrot/galerie d’art, avec ses Combas et ses Schlosser, ses belle toiles et ses sculptures contemporaines. En cuisine, Albert Corre est un classique qui ne s’ignore pas. Ce drôle de zigoto, qui figure en bonne place dans mon […]...
Les déjeuners de presse, je n’en fais pas souvent et le Petit Pergolèse de l’inénarrable Albert Corre, je vous en ai parlé X fois. Mais celui-ci est différent, mérite une exception, est dédié à joie de vivre. Besserat de Bellefon, cette maison créée en 1843 par Edmond Besserat en 1843 à Aÿ vaut sans doute […]...
Il veille sur sa salle en patriarche encore jeune, accueillant avec faconde, complicité, brio, le tout seizième qui s’amuse. Vend un Schlosser géant à bon prix, montre son Warhol (une Marylin) près de la cuisine, s’affirme galeriste autant que restaurateur dans son « Petit Pergo » qui est le seul bistrot/galerie d’art à Paris. Vrai: l’art contemporain […]...
Vous avez un coup de blues à l’idée de rentrer au turbin en début d’année? Un bonne solution pour tout oublier: faire un saut chez l’ami Corre, autrement l’Albert, un personnage digne de Gabin, Ventura, Blier, qu’on voit figurer sans mal dans la scène d’anthologie des » Tontons Flingueurs », qui fut l’une des mes 40 […]...
Il est à part. Il fut le jeune qui monte, avec un « cv » comme ça, ancien de Senderens, de Robuchon, du Crillon, de Huyart, au temps de la Crémaillère à Orléans. S’est mué en aubergiste sympa et malicieux du 16e. Le tout Paris, qui se précipite rue Pergolèse – ce soir là Jean-Louis Costes était […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.