Quand Laurent Méry, qui administre Lamothe-Bergeron, le plus saint émilion des crus bourgeois du Médoc, se déplace à Paris pour sa dégustation annuelle, il choisit une belle table parisienne étoilée à laquelle il demande des mets en accord. L’an passé, nous étions chez Teshi de Pages dans le 16e, pour des gammes originales. Cette année, […]...
Ne confondez pas l’hôtel (le Burgundy) avec la table (le Baudelaire) : les noms des deux lieux n’ont guère de rapport, prêtent à confusion. On ne comprend guère ce que l’auteur des « Fleurs du Mal » fait ici même, dans ce cadre sobre et contemporain, avec son patio, où son mobilier jadis a été dispersé. Sachez […]...
Si l’on vous disait que Guillaume Goupil, le nouveau chef du Baudelaire au Burgundy, est rusé comme un renard, ce serait une facilité de langage. Ce jeune Blésois, âgé de pile 30 ans, au physique de cover boy, souriant, barbu et filiforme, raconte ses mets en salle avec aise, râpe la truffe de saison avec […]...
C’est la table discrète et très tôt étoilée l’an passé du restaurant de l’hôtel Burgundy. Nous sommes là rue Duphot à deux pas de la Madeleine et de Concorde. Les bruits du proche faubourg St Honoré ne pénètrent là cependant qu’en catamini. La salle à manger, avec son patio, sa verrière, sa moquette marron, ses […]...
Un bar pour rêver, le temps d’une pause entre deux courses, entre Madeleine et St Honoré: c’est au Burgundy. La table s’appelle le Baudelaire, le chef Pierre Daret est un ancien de la Chèvre d’Or à Eze. Il délivre là ses plats en « finger food » (foie gras au torchon avec chutney de fruits secs, croustillant […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.