On la suit depuis ses débuts de chef(fe) à Paris au Mermoz. On l’a un peu perdue de vue après son bref passage à Roquebrune-Cap-Martin chez Elsa, face à Monaco, puis sa résidence au Perchoir de Ménilmontant. On ne pouvait manquer l’ouverture de sa première table. En lisière du plateau Beaubourg et à deux pas […]...
Saint-Emilion capitale gourmande Saint-Emilion, qui prend ces temps-ci l’allure d’un « Mont Saint Michel » de la Gironde, parcourue, de boutiques en venelles, par des hordes touristiques, devient également une capitale gourmande. On connaissait déjà l’Huîtrier Pie, toujours en forme, et l’Envers du Décor, bistrot gourmand qui renouvelle sa palette demeure le QG des vignerons du village […]...
Aux Lyonnais, Marie-Victorine part, Victoria arrive Aux Lyonnais à Paris, Marie-Victorine Manoa, pure lyonnaise, fille d’un as du bouchon – Jean-Louis Manoa alias « le viking » et chef-patron du Mercière de la rue Mercière – quitte son poste de cheffe après deux ans de bons et loyaux services dans le groupe Ducasse. Elle s’apprête à créer […]...
Tel Aviv phare gastronomique Une ville où les gens se promènent sans masques, abondent aux terrasse de restaurants et de cafés comme à l’intérieur, dont l’esprit libre et décomplexé s’exporte dans le monde entier : c’est Tel Aviv. On mange « ‘levantin » ou « telavivien » à Paris, chez Sabich, Pichpich, Adar, Tavline, Shouk, Blitz, Salatim, Mafim, Ima, […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.