Hugo Roellinger, 3 étoiles breton? Il a pris en main la maison qui fut l’annexe de celle de son père quand celui ci avait trois étoiles au Bricourt et a réussi à faire ce que beaucoup suggéraient à ce dernier : y transporter sa grande table. Il a diminué le nombre de couverts et supprimé […]...
Ce sera l’événement parisien de l’après-confinement : l’ouverture de l’Astrance en lieu et place de l’ex-maison mythique de Joël Robuchon. Notre photographe complice, Maurice Rougemont, qui connaît bien les lieux, les retrouve avec émotion… L’actualité de Pâques du duo Barbot/Rohat, c’est un menu à emporter à 85 €. Au programme : saumon de fontaine « […]...
Reprise en main russe à GaultMillau C’est le séisme gastronomique de magnitude 100 sur l’échelle de Richter gourmande qui a affecté le microcosme en fin de semaine dernière : le remplacement, à la direction générale de Gault-Millau de Jacques Bally, après seulement vingt mois d’exercice, par Zakari Benkhadra. »Cela tangue, cela bouge, les Russes reprennent le […]...
Menaces sur le Mini-Palais Le Grand Palais fermera en 2020 pour de grands travaux pharaoniques dont le montant élevé (on parle d’une ardoise de quelque 500 à 600 millions d’euros…) doit lui permettre de se ranger aux normes modernes assurant d’importantes opérations de sécurité. Sa grande nef devrait pouvoir ainsi accueillir 11000 visiteurs (contre la […]...
Voilà une maison dont on ne parle pas souvent, qui semble échapper aux modes du temps, s’isoler du monde, jouer sa propre carte. Celle-ci change cependant, même si Pascal Barbot et Christophe Rohat, complices de cuisine et de salle, qui se sont rencontrés à l’Arpège, jadis, ont voyagé ensemble, notamment en Australie, avant de faire […]...
Gwendal Poullennec a-t-il du coeur ? 38 ans, l’Essec, 16 ans de présence dans le groupe Michelin, à ses différents niveaux, prédisposent-ils à avoir du cœur ? Gwendal Poullennec, que l’on nommait jadis « le jivaro » – c’était il y a quatre ans, dans les chuchotis du 23 février 2015 -, n’a pas failli à sa […]...
Notre avocat gourmet, Didier Chambeau, chante son amour de la cuisine de Pascal Barbot à l’occasion de son dernier repas à l’Astrance. Ecoutons-le. Une rue en impasse près du Trocadéro, un restaurant dont tout le monde parle depuis des années, une salle épurée aux murs gris cérusé et banquettes jaunes, vingt cinq couverts pas davantage, […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.