Chaque année, Tipiak, le roi du quinoa, ce riz des Incas, devenu élément de gourmandise légère et de santé savoureuse, demande à Alain Passard de cuisiner ses diverses variétés, blanche, gourmande, parfumée, délice. Et le prince de la cuisine légère, végétale et légumière, expert aussi, quoi qu’en dise, en viandes et en poissons, s’en tire […]...
Vous le connaissez par coeur ! On parle souvent plus de lui que de sa maison. Il est le Breton de la Guerche, toujours un brin gavroche, drôle, farceur, facétieux, l’homme des légumes et de la cuisine légère, l’artiste du beau geste, croqué par Christophe Blain, le formateur d’élite, chez qui sont passés, au moins, Pascal […]...
Quand Maurice Rougemont, notre photographe complice, observe Alain Passard, c’est d’abord ses gestes qu’il met en relief. Le magicien de la rue de Varenne est un artiste de la gestuelle. Chaque plat, chez lui, exige une mise en scène, on allait dire une ascèse, de haut vol. Chaque ingrédient mérite son exégèse. Chapeau l’artiste! […]...
Comme le temps passe! Près de quatre ans qu’on ne vous avait pas parlé d’Alain Passard… La planète n’a pas cessé de tourner, les élèves de l’Arpège, de Barbot à Toutain, Colagreco à Lignac, de faire parler d’eux. Le magicien de la Guerche, passé jadis chez Kéréver et Boyer, que l’on découvrit il y a […]...
Il joue à part dans la cour des grands, il est, selon mon confrère François-Régis Gaudry de l’Express, qui lui a consacré six belles pages: « Dieu vivant« . Il est depuis une décennie l’apôtre de la cuisine légumière, notre Sri Aurobindo guetteur de vertus, cueillant ses légumes dans ses trois propriétés à l’ouest de Paris, entre […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.