Cela bouge toujours à la Petite Cour. Et l’exquis John Talbott qui joue l’Hemingway gourmet à Paris façon fête perpétuelle (« Moveable Feast » en anglais dans le texte) va m’y suivre dare-dare. Jean-François Larpin qui tient la maison depuis des lustres en a confié les clés au gentil Bruno Boucheron qui accueille avec la sagesse de […]...
Didier Chambeau, notre avocat gourmet, a détecté une nouvelle toque japonaise à la tête des fourneaux de la Petite Cour de la rue Mabillon. Suivons son minutieux passage en revue. C’est une marée montante qui ne fait pas d’écume, une nouvelle vague de chefs japonais prenant possession des pianos parisiens après avoir appris à mettre […]...
Un lieu de charme, une terrasse à fond de cour, en contre-bas de la rue Mabillon: c’est la Petite Cour de Jean-François Larpin. La salle avec ses grâces Napoléon III dans les tons rouges a son cachet, l’extérieur avec sa fontaine aussi. Tiens, hier soir, Thierry Marx dinait là avec des amis. Bon signe! Le […]...
C’est « the » jeune chef du moment à découvrir. Le buzz des blogs ne l’a pas encore effleuré. La presse l’a oubliée. Il faut dire qu’il officie, depuis peu (deux mois à peine), dans un lieu connu depuis trois décennies au moins dans le quartier des éditeurs. Il s’appelle Régis Versieux, a 32 ans, a été […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.