Maurice Rougemont, notre photographe complice, continue de fouiller ses archives en période de post-confinement. Il a retrouvé ainsi les belles images d’un crustacé qui le fascine : l’araignée de mer. Voilà cette dernière au mieux de sa forme… Quelques araignées dont je me souviens: celles de Jean-Yves Guého de l’Atlantide 1874 à Nantes, celles de […]...
On l’avait évoqué dans les Grandes Gueules et leurs recettes. Notre photographe complice Maurice Rougemont, qui se penche pour nous sur ses dossiers et nous dévoile ses « grandes gueules de l’été », a retrouvé quelques belles images de James Robert aux Salines. Suivons-le à l’île d’Oléron.. Chez James, même le sel est fait maison, ramassé par […]...
Il est toujours l’aubergiste star de son île, régale, avec l’aide d’Arnaud Giron, chef fidèle à la maison depuis douze ans, ancien de la Jabotière à Royan, le meilleur monde des gourmets/gourmands venus ici se faire fête sans œillères. Son faux village des Salines s’est patiné: il a l’air vrai. La cabane façon ostréiculteur de […]...
On connaît James Robert, restaurateur star du village des Salines. Voici l’aubergiste devenu boutiquier, saulnier, animateur et écolo conquérant. Il exploite le marais salant voisin, qui était abandonné, récolte le sel, le conditionne à demeure. Avec une équipe de cinq personnes, il réveille le pays, s’amuse « comme un petit fou« , dit-il, fait des mélanges (au […]...
Au sud de l’île d’Oléron, le port des Salines est une reconstitution soignée: un éco-port ou un éco-village. Le bourg de référence se nomme le Grand Village. A fleur d’eau, les demeures de bois sombre sont rehaussées de volets bleus. Il y a les toits de tuiles orangées, le ciel qui oscille du bleu au gris, […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.