Le Palais, ce magnifique monument Second Empire qui appartient à la ville de Biarritz et qui est géré par le groupe Hyatt, cherche sa voie. Il fait sa mue hôtelière et achève ses grands travaux (ils auront duré quatre ans au moins), multipliant les formules gourmandes. Sa table ouverte tous les jours, midi et soir, […]...
Comme au village, ce petit hôtel du quartier de la Canourgue, sis à quelques pas de la noble promenade du Peyrou, avec ses vingt chambres proprettes aux tarifs sages, son atmosphère quiète, son escalier de caractère, ses petits salons paisibles, plus l’accueil vif et souriant de Nathalie Quentin, offre petits déjeuners en plein air et […]...
Ceux qui rouvrent et les autres A Paris comme en province, rares sont les grandes tables ouvertes. Il y a ceux qui ont ré-ouvert avec joie (Laurent Petit à Annecy, Gérald Passédat au Petit Nice à Marseillle, Christopher Coutanceau à la Rochelle, Paul Bocuse à Lyon, Georges Blanc qui a commencé par son Ancienne Auberge […]...
Je vous écris de Biarritz. L’ancienne demeure d’Eugénie de Montijo, devenue impératrice des Français, a gardé le profil noble. Ce vertueux et historique palais est devenu un palace d’avant-hier et d’aujourd’hui, désormais filiale associée du groupe Orient-Express. A la tête de l’établissement, un Alsacien qui fit jadis ses classes au Sofitel Mulhouse, puis au Martinez […]...
C’est la botte pas si secrète que ça du tout Biarritz qui aime le soleil: une table de bord de piscine, ombragée juste ce qu’il faut. Il y a le service alerte, les tables au grand air, le grand buffet d’entrées (céleri rémoulade, fruits de mer, poulpe en salade, rollmops, anchois, etc), le frais gaspacho, […]...
C’est une table princière – ou impériale. Dans l’ancien palais d’Eugénie, on met forcément les petits plats dans les grands, même quand on ne joue pas la carte du « grand gastro » (c’est le rôle de la Villa Eugénie): ici Jean-Marie Gauthier, le MOF berrichon rallié au pays basque, fidèle au lieu depuis une quinzaine d’années, […]...
A tout seigneur tout honneur, rendons en premier hommage au Palais. Y sévit depuis belle lurette un Berrichon devenu basque avec passion, MOF de son métier, faisant rimer sérieux et modestie. Jean-Marie Gautier a fait de l’ancienne demeure d’Eugénie de Montijo son royaume. Dans le magnifique décor de fête de la vaste salle en rotonde, […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.