Lucas Felzine ? Il fut le premier apôtre franco-français de la cuisine « nikkei »– entre la rencontre des sushis et des ceviches, du Pérou et du Japon – à Paris, près des Tuileries et du Meurice, à l’enseigne de Uma. Juste après le premier confinement, Lucas Felzine s’est mis à jouer un registre très […]...
Un paradoxe ? Un oxymore ? Un antiphrase ? Une litote ? Une hyperbole ? Une métaphore ? Il y a tout cela dans cette enseigne bizarroïde qui rappelle que l’on fut confiné plusieurs mois et que l’on s’abstint de sortir au restaurant, mais qui incite à faire la fête, avec des plats à partager […]...
Une réouverture possible en 3 temps Les dates ne sont pas fixées – on pense à fin avril, à mi-mai et même à juin -, mais le processus est en marche. Entre les services de Bercy et les syndicats de restaurants, de bars et d’hôtels, une configuration d’ouverture se ferait en trois temps : dans […]...
On avait découvert, à la faveur du premier confinement, les plaisirs initiés de ce chic bar néo-années 1930, dédié à l’auteur de « Gatsby le manifique ». Aujourd’hui, rodant sa manière et sa formule, la jeune équipe maison, avec le chef Pierre-Thomas Clément, passé à l’Atelier Robuchon, et le patron, Guillaume Bénard, élève de l’école […]...
Bar chic un brin années 1930, avec son enseigne en l’honneur de l’auteur de « Gatsby le manifique », cette belle table tendance livre. Son chef, Pierre-Thomas Clément, notamment passé par l’atelier de Joël Robuchon, connaît la musique, joue la fraîcheur, la liberté, la saison. Sous la houlette du gourmand patron, Guillaume Bénard, passé jadis à l’école […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.