Un grand café rajeuni, débarrassé de son faux cadre 1900 signé Pierre Pothier et qui constituait un « Maxim’s pour budgets moyens« , avec son allure néo années 1970, ses tons rouges, son plafond métallique façon Courrèges, ses banquettes, son beau et ses mosaïques au sol, le tout griffé par le duo d’architectes Toro et Liautard : […]...
« Un Maxim’s pour budgets moyens« : la formule n’est pas de moi, mais de Christian Millau qui définit ainsi le lieu lorsqu’il fut redécoré dans le goût modern style, il y a trente ans déjà, par Pierre Pothier en prenant pour modèle la maison de luxe de la rue Royale. Certes, les prix ici ont grimpé, […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.