Ces deux là, je vous en ai déjà parlé avec une tendresse un peu rude. Charlie Marciano et Gilles Bellot assurent un relais de qualité au bas de la passante rue Blanche, accueillent comédiens et les spectateurs d’avant spectacle (hier soir, il y avait Georges Beller, révélé jadis par « Je ne veux pas mourir idiot », […]...
C’était une chanson fameuse de Charles Aznavour. C’est, ou presque, même si j’en rajoute un peu en bon voisin qui voudrait coller ses rêves aux belles enseignes de son quartier, la fière bannière de Charlie Marciano et Gilles Bellot. Ces deux joyeux drilles, qui accueillent avec le sourire, servent tôt et tard, rameutent avec aise […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.