Chapeau, Franz! Il arrive au terme de son « histoire intime de la Ve république » avec le talent de maître conteur que l’on sait, en tirant sur tout ce qui bouge – ou bougeait – et l’on ne s’ennuie pas une minute en achevant son 3e volume. Pour un peu, on en redemanderait ! On a, […]...
Vous avez aimé le premier tome de cette « Histoire intime de la Ve République » consacrée aux années De Gaulle ? Vous allez adorer le second, qui évoque les septennats de Georges Pompidou et de VGE, le combat et la percée de François Mitterrand, les tourments de Pierre Mauroy, les aléas de Michel Rocard, le regard […]...
Une formidable histoire d’amour (ou de désamour), de passion, de haine, avec lui-même, les autres, l’histoire, ses personnages secondaires, ses héros et d’abord le Général : tel est ce livre insolite et passionnant. FOG (alias Franz-Olivier Giesbert) nous promet trois tomes bien sentis sur cette Ve république dont il fut l’un des acteurs, quoiqu’il en […]...
« Un chat aux sept vies. Une hydre polycéphale. Un ogre. Un végétarien panthéiste et mystique. Un pirate à l’abordage, une midinette sentimentale, un voyou combinard et déloyal, un moraliste transgressif, un cynique au coeur tendre, un pervers sans foi ni loi, un touche-à-tout méditatif. Un saint-François, une sainte Thérèse, un gangster déguisé en mère-grand, un […]...
D’Himmler, dans ce livre, il ne sera question qu’à partir de la page 198. Et ce dernier ne nous quittera à la page 312. Mais entre temps, la cuisinière du titre, prénommée Rose, née en 1907, aura traversé le génocide arménien, échappé à un trafiquant turc, payé de sa toute jeune personne pour se retrouver […]...
Ils étaient là, tous, en rangs débridés, les derniers hussards de la République des Lettres. Michel Déon, auquel Christian Millau, président du jury adressa un « coup de shako » pour sa préface à la correspondance Chardonne/Morand, Franz Barthelt, le lauréat, mais aussi FOG, PPDA, Marc Lambron, François Cérésa, le directeur de « Service Littéraire », Claude Cabanes, le […]...
Evidemment, cette table « obligatoire » du Paris poissonnier, je vous en ai parlé plusieurs fois. Après un long voyage ou avant une belle étape au vert, c’est toujours un plaisir d’y prendre un bain d’iode. « C’est là que je vais vers la mer à Paris« , affirme FOG, en préface à l’ouvrage de recettes du Dôme signé […]...
C’est une table chic et bien élevée, avec son cadre revu néo-art nouveau par Slavik dans les années 1970 – 1974 exactement (par parenthèse, le Michelin, qui parle ici d’un « mythique décor Art déco », écrit un peu n’importe quoi), son service de classe, sa carte figée dans ses bonnes intentions marines. Le Point, avec Franz-Olivier […]...
Un vrai repas de rentrée, c’est quoi? Retrouver ses habitudes en reprenant sa place parmi les siens. Au Dôme, il y a le décor néo-1900, imaginé par Slavick dans les années 1970 et devenu « vintage », le service amical et complice, en smoking, svp, avec des chefs rangs aux faux airs de Dalban dans les « Tontons […]...
C’est une maison comme un coup de coeur, avec ses teintes douces, ses quelques chambres, ses jolis menus, son accueil gracieux, sa cuisine provençale qui ne manque ni de personnalité, ni de sens de l’enracinement, ni de caractère. Nous sommes là au pied du Grand Luberon. Et l’on retrouve avec joie Dominique Bucaille, qui fut […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.