« La Tour point ne leurre« : c’était la devise de la Tour d’Argent. Ca l’est toujours, même si elle n’apparaît plus sur la nouvelle carte de Philippe Labbé. Signe des temps: André Terrail, 35 ans, dernier héritier actif d’une grande maison parisienne, qui a su ne jamais brader l’héritage, a misé sur le bon cheval avec […]...
Notre ami photographe Maurice Rougemont a passé une matinée à la Tour d’Argent, veillé le service, observé la préparation de la salle, guetté le sommelier David Ridgway et le big boss André Terrail, observé la cuisine de Laurent Delarbre qui mitonne betteraves et caviar à la crème de citron, langoustines truffées au bouillon de légumes […]...
La tradition éternelle, celle qui ne meurt pas – dieu merci !-, dont on ne se lasse guère? Celle de la Tour d’Argent où l’on comprend, face à Notre Dame illuminée qu’une grande maison, c’est un tout: cuisine, vins, service, décor, histoire, légende, tout cela mêlé ensemble, avec raison, force, justesse. On trouve tout cela […]...
C’est un lieu vif, intemporel et éternel. Un lieu parisien? Bien sûr, et avant tout, qui donne le sentiment du voyage « dans Paris« , comme dirait Cédric Klapisch. Il y a là du décor de cinéma dans cette salle à manger toute en baies vitrées lorgnant vers Notre-Dame et la Seine en contre-bas. Nous sommes là […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.