Marc Haeberlin dans le bon sens « Y penser toujours, n’en parler jamais. » Cette devise qui vaut en politique, s’agissant d’une promotion stratégique, vaut aussi pour les réaccessions à la 3e troisième étoile. Dire que la rétrogradation de l’an passé sous l’égide de la nouvelle direction du Michelin a été digérée par les Haeberlin est un […]...
Cette brasserie très chic du Shangri-La, dédiée à la fleur exotique qui orne le drapeau d’Hong Kong, vous la connaissez par coeur. On y mixe avec science saveurs françaises et asiatiques. Ce que l’on sait moins, c’est que, le premier jeudi de chaque mois, la maison sert un menu vegan proposant une soirée dite « Green », avec […]...
L’Abeille ? La belle table du Shangri-La, gérée par Christophe Moret, qui fut le maestro de Lasserre, après avoir été celui du Plaza-Athénée pour Alain Ducasse. Ce classique sûr, formé jadis aux côtés de Bruno Cirino, qui joue le produit de haute tenue en version d’hiver avec brio. La truffe, chantée à travers un menu de […]...
Cette belle table franco-asiate, gérée de près par le maestro de l’Abeille, Christophe Moret, on vous en a déjà parlé plusieurs fois. Son nom – la Bauhinia – lui vient du nom à la fleur exotique ornant le drapeau de Hong Kong. La déco, en vert céladon, fleuri, signé Pierre-Yves Rochon, articulé sur deux étages […]...
Il s’est aisément coulé dans le moule. Venu de chez Lasserre, ancien de chez Ducasse, élève de Cirino, classique sachant évoluer avec le temps, la saison, surfer sur la mode sans jamais y plonger, Christophe Moret a repris le registre de l’Abeille, laissé en friche par Philippe Labbé en simplifiant la manière maison. Le produit de […]...
Philippe Labbé signe à l’Arnsbourg C’est fait! Ce natif de Troyes, formé, notamment chez Loiseau à Saulieu, revient dans l’Est. Philippe Labbé remplace Jean-Georges Klein aux cuisines de l’Arnsbourg à Baerenthal. Il oeuvrera avec une partie de l’ancienne équipe de cuisine, mais concoctera une carte qui mixera les idées de son prédécesseur et celles de […]...
Il avance à pas comptés, vient d’arriver, mesure le lieu avec prudence. Il y a le Shang Palace pour les émois chinois, l’Abeille pour le grand art à la française et puis la Bauhinia, délicate maison sur deux étages avec sa mezzanine, en rouge et vert, signée Pierre-Yves Rochon, jouant Marie-Chantal chez les Malais. Le […]...
Alsace: Bohrer et Moulot vont en bateau C’est le scoop alsacien de la semaine: la fusion des groupes développés par Philippe Bohrer et de Cédric Moulot qui, à eux deux, représentent près d’une trentaine de maisons dans la région du grand Est. La premier gardera la haute du main sur le Crocodile à Strasbourg qui […]...
L’OPA ratée d’Alain Ducasse sur les Grandes Tables du Monde On vous a parlé, la semaine passée, de la passation de pouvoir de Marc Haeberlin à la tête des Grandes Tables du Monde et de ses successeurs possibles – sinon désignés – Laurent Gardinier et David Sinapian. C’est finalement ce dernier, époux d’Anne-Sophie Pic, et […]...
Chez Lasserre, le soleil rentre par le toit ouvrant. La maison a gardé son décor théâtral, très Bérard-Cocteau années 1950. Même si la maison rajeunit. On vient là pour le grand jeu du soir, le service en queue de pie, le décorum impavide qui a survécu à toutes les modes. Les nouveaux acteurs de la […]...
Peu de restaurants sont aussi mythiques que Lasserre: il y a le cadre années 1950, l’ascenseur qui mène au premier étage- ou au septième ciel -, la cadre de l’époque Bérard/Cocteau avec son plafond et son toit ouvrant signé Touchagues, revu par Corbassière, son service en queue de pie, ses plats de toujours, le pigeon […]...
La nouveauté parisienne du moment: Lasserre est bien toujours Lasserre. Il y a la magie du toit ouvrant, le service en queue de pie, le décor Cocteau/Bérard années 1950 revu plus sobre dans les tons beiges plus cet ascenseur qui, lui, n’a pas changé et dont René Lasserre disait : « c’est ma petite boîte aux secrets […]...