C’était Prima, c’est devenu la Table de Noémie en hommage à la baronne Noémie de Rothschild, agacée d’entendre parler allemand à Saint-Moritz, et qui fit de Megève sa rivale française. Le chalet du Mont d’Arbois lui est dédiée. Aux fourneaux de sa table, qui a gardé ses fresques amusantes et mondaines, on a connu une […]...
On vous en a parlé très tôt: la table et son chef se confirment dans la qualité, jouant le jeu d’une Savoie rajeunie, d’un classicisme fort bien maîtrisé, d’un esthétisme jamais pris en défaut, avec le sens des assaisonnements précis, des assiettes jolies et bonnes, au gré du moment et de la saison. La table ? […]...
Il est jeune (28 ans), alsacien, natif de Colmar, formé au Schoenenbourg à Riquewihr, au temps de François Kiener, est passé chez Olivier Nasti à Kaysersberg, puis deux ans au Meurice avec Yannick Alléno, enfin, quatre ans durant, avec celui qui sera son alter ego, son copain, son compagnon de route, demeurant son aîné de […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.