Pascal et Carole Bastian ? On les suit depuis belle lurette, ici même, dès leur reprise du Cheval Blanc des Mischler. Le lieu – un authentique relais de poste du XVIIIe siècle – a été modernisé et agrandi avec chambres et spa, sans perdre sa belle nature. La table, laurée de deux étoiles, celles que […]...
Vingt ans déjà, que Ludovic Poyau règne avec bonhomie et gourmandise sur la place principale de son beau village solognot, face à l’église. Toujours absent du Michelin – mais qui s’en soucie ? -, ce natif d’Orléans, formé au lycée hôtelier de Blois, parti au Gavroche à Londres chez les frères Roux, passé à l’Auberge […]...
Cette « Auberge de l’Ill » des Vosges du Nord, on la connait de longue date. Depuis huit ans, les Bastian la peaufinent. On n’a pas été trop mauvais prophète, il y a deux ans, en achevant notre texte sur cette note: « A quand la deuxième étoile? » Depuis le Michelin nous a écouté, et la demeure a […]...
Quatre ans déjà qu’on n’était pas retourné chez Ludovic Poyau ! Ce bel artisan qui oeuvre en one man chaud dans sa gente auberge du coeur de son beau village solognot, sur la place principale, face à l’église, est absent du Michelin. Comprenne qui pourra ! En revanche, ce natif d’Orléans, ancien des Templiers aux Bézards, […]...
C’est la même maison. Et c’est une autre. Plus légère et plus belle encore, rajeunie, embellie, éclairée, épurée, solide bastion de la grande cuisine au goût du jour dans le creuset des Vosges du Nord. On se souvient avec nostalgie du Cheval Blanc des Mischler. Les Bastian, qu’on a suivi avec intérêt, depuis leurs débuts […]...
Moderne sous son enveloppe ancienne, cette demeure de briques rouges, bois et torchis de 1890 a gardé le charme d’avant. Ludovic Poyau, qui a travaillé à l’Auberge des Templiers aux Bézards, joue une cuisine d’actualité, de saison, sans négliger l’environnement et les racines. Ce natif d’Orléans, passé chez les frères Roux au Gavroche à Londres, […]...
Une auberge, une simple auberge, au coeur d’un beau village niché au coeur de la grande forêt de Sologne et à deux pas du parc de Chambord: c’est le domaine de Joël et Patricia Danthu qui tinrent jadis la Poularde à Gien. Les chambres rénovées sont cosys, la salle à manger est douillette, la cuisine […]...
C’est l’une des grandes maisons de l’Alsace du Nord et de ses lisières, qui ne manque pas de demeures de talent et de classe (comme l’Arnsbourg, Anthon, le Cygne, le Bechel-Brunn ou le Cheval Blanc des Zinck, celui de Niedersteinbach récemment évoqué). Nous voilà donc au Cheval Blanc de Lembach, chroniqué là il y a […]...
Fausse winstub, vrai gastro? C’est la petite annexe des Bastian à Lembach. Nous sommes à l’orée du Cheval Blanc, au rez de chaussée et en terrasse de l’hôtel de la maison – le premier avec quelques chambres rustiques et charmeuses, alors que d’autres se trouvent au premier étage du « grand restaurant ». Et le service sourit, […]...
Pas de meilleur prélude aux fêtes de Bayonne, folles, douces, colorées, savoureuses, qu’un repas chez Jean-Claude Telléchéa qui est le chef de coeur d’ici. Sa maison, au coeur du petit Bayonne, a le chic discret, sobre et boisé. Cet ancien de Troisgros et Lameloise, qui n’a jamais perdu le goût de ses racine basques, propose […]...
Quand une maison est grande, qu’elle change, qu’on y revient, c’est souvent sur la pointe des pieds. Pascal Bastian, qui a repris, il y a pile deux ans, la maison de Fernand Mischler avait un sacré challenge à tenir. Le Cheval Blanc de Lembach, c’est un peu l’Auberge de l’Ill du Nord. Quand on me […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.