Il est le même, plus jeune sans doute, l’oeil vif et malicieux, reçoit désormais au Trou Gascon, rue Taine, où, il y a près d’un demi-siècle (1973!), il a entamé sa carrière d’ambassadeur gascon à Paris. Depuis la fermeture inopinée (pour expulsion) du Carré des Feuillants, voilà Alain Dutournier revenu aux fondamentaux revus au goût […]...
Notre photographe complice, Maurice Rougemont, a été épaté par son repas au Trou Gascon avec l’ex maestro landais du Carré des Feuillants aux manettes. Il raconte … Déjeuner époustouflant au Trou Gascon, dans ce camp de base où s’est replié provisoirement Alain Dutournier, où souffle encore son esprit rebelle et gascon. Un Dutournier, toujours avec […]...
Il est là, toujours fier comme un gascon, ardent, sûr de ses racines, de son art, dans cette demeure qui est la sienne depuis un demi-siècle, même si le Michelin lui a fait l’injure de lui retirer son étoile. Présent au Carré des Feuillants, Alain Dutournier, natif de Cagnotte dans les Landes, a fait du […]...
Alain Dutournier démarra là il y a quatre décennies déjà. Le lieu a à peine changé, avec sa réfection opérée il y a quelques années par le copain designer argentin Alberto Bali, sur le mode du bistrot moderne. Mais les stucs au plafond demeure. En tout cas, l’esprit landais, fièrement gascon, y demeure avec superbe. […]...
Voilà un quadragénaire qui se porte bien, se renouvelle sans faire de vagues. Alain Dutournier, qui a créé a la demeure en 1974, a toujours le chic pour trouver des collaborateurs de qualité. On a connu ici Thibaut Sombardier, désormais parti pour la gloire chez Antoine. C’est désormais le jeune Clément Thouvenot qui s’y colle […]...
Cette exquise demeure de l’est de Paris, sise en lisière de la place Daumesnil, et qui fleure bon la province, même si ses stucs sont ceux d’un vieux bistrot parisien, change sans bouleverser sa nature. Le jeune Jérôme Gauthier, formé ici même, vient de prendre les commandes de la maison, après le départ de Thibaut […]...
C’est la première maison d’Alain Dutournier, présent là depuis 1973. Elle est dirigée par Claude Tessier, en salle depuis… 1975. Autant dire que la continuité règne ici avec maestria. Le jeune Thibault Sombardier, passé au Meurice et au Carré des Feuillants, veille nouvellement sur les fourneaux, exécute avec maestria les classiques revus chics du maître. […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.