Le petit roi discret de la gastronomie libanaise à Paris ? C’est bien lui: Antoine Daccache, apôtre gourmand du pays du cèdre, oeuvrant avec sureté dans son royaume d’Al Mankal, avenue de New-York, face à la Tour Eiffel, figurant l’une des plus authentiques ambassades levantines de la capitale. Dans cette affaire de famille, initiée il […]...
Il a dû couper, élaguer, raboter le cèdre du Liban, qui ornait son jardin en terrasse, mais gênait un voisin et lui obstruait la vue sur la Tour Eiffel. Antoine Daccache, lui, demeure solide comme un chêne ou un cèdre, assurant, depuis deux décennies, l’hospitalité libanaise face aux quais de Seine, sur l’emblématique avenue de […]...
Il fête ses vingt ans de bonheur à Paris, regarde pousser son cèdre, devant sa maison, qui, depuis son bout de quai, fait face à la Tour Eiffel. Un symbole d’accueil pour ce Libanais exilé qui défend la cuisine de son pays avec ferveur, amour, talent, sincérité. Chez le malicieux et chaleureux Antoine Daccache, surtout […]...
Antoine Daccache, l’aubergiste d’Al Mankal n’est, bien sûr, pas inconnu pour vous. Il passe du mezzé chaud ou froid avec ardeur, vante comme personne le hommos bel téhini, le mouttabal, le taboulé au persil, la moussaka avec tomates et aubergines, le hindbeh (les épinards poêlés), le délicat labné citronné, le zaatar au romarin, comme le […]...
Mon Libanais de coeur: Antoine Daccache, qui accueille comme s’il était à la maison, quai de New York, juste à côté d’Antoine et du 6 New York. Le lieu est discret, avec son jardin en patio face à la Seine, avec ses arbres plantés avec patience. Il y a un voiturier, pratique en ces parages […]...
Cuisinier de l’année Kei Kobayashi, Kei, Paris 1er Il est le wonder-boy de la nouvelle écurie franco-nippone de Paris. Kei Kobayashi qui a repris Gérard Besson s’est trouvé tout de suite. Ce garçon timide, formé chez Goujon à Fontjoncouse, au Prieuré de Villeneuve-lès-Avignon, au Cerf à Marlenheim, enfin sept ans chez Ducasse au Plaza, a […]...
Ca y est: j’ai trouvé enfin mon libanais de coeur, que je dois à Pier Silli, vénitien un brin phénicien qui vécut quinze ans durant au pays du Cèdre et n’a de cesse de retrouver ici et là les saveurs authentiques qui le firent humer, aimer, respirer, s’émouvoir, enfant. Nous sommes là quai de New […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.