Il bouleverse Boulogne-Billancourt, a racheté la demeure de Jean Chauvel, créant, en sus de son Baca’v du 5e, une enseigne identique mais qui triple ses possibilités d’accueil. Le lieu est moderne, la cuisine a la taille de son bistrot du 5e, il y a une cave à manger avec sa grande table d’hôte. Reste qu’Emile […]...
Dans le très commerçant passage 13, sis sur la place du grand marché (Rynek Gröwny), la famille Likus , qui possède notamment le Pod Rosa et le Copernicus à Cracovie, mais aussi des tables et établissements à Varsovie, Wroclav et ailleurs, a installé là en sous-sol une table underground, baptisée Concept 13, avec ses tables […]...
Vous cherchez une ode à la Pologne gourmande ? Votre adresse se nomme Pod Baranem : la table de Jan Baran et de son fils Patryk. Le premier, qui a été chef dans plusieurs restaurants de Cracovie, a créé là, en 1997, juste au pied du château royal (le Wawel), une institution qui accueille le […]...
La star cracovienne, celle qui vaut à elle seule la découverte éblouie de la Florence polonaise ? Przemyslaw Klima, le seul chef deux étoiles de Pologne, qui tient table ouverte dans Kazimierz, l’ancien quartier juif de Cracovie, dont il est devenu le cuisinier emblématique. Il a été stagiaire mois chez Noma à Copenhague, a travaillé […]...
Le vieux marché est juste en face, ce qui garantit l’extrême fraîcheur de ce qui est servi au Filipa18. Le restaurant, installé au rez de chaussée d’un hôtel élégant (Indigo), avec ses tableaux contemporains, ses banquettes bleues, sa cuisine ouverte est moderne, la table est fermée au déjeuner en semaine, mais une formule bistrot permet […]...
La bonne surprise du Copernicus ? La fine cuisine du chef Krzysztof Was, 37 ans, formé ici même, qui a oeuvré aux côté de certains grands chefs des Relais & Châteaux comme Thomas Bühner, le trois étoiles de la Vie en Allemagne, et livre ici un mélange assez passionnant de mets vifs, sens, savoureux, qui […]...
Voilà un lieu à l’ancienne,à la fois bistrot balzacien et brasserie parisienne au mieux de son style et de sa forme : il y a ce décor millésimé 1854, avec ses stucs, ses miroirs, ses splendides mosaïques au sol, son vaste comptoir d’entrée, ses plafonds de hauteurs variées (haut dans la salle centrale, bas dans […]...
Christelle et Pascal Dezutter tiennent avec bonhommie, sourire et gourmandise cette table moderne sise dans un ancien prieuré du XVIIe siècle qui hébergea jadis des templiers. Le menu unique à 38 € indique la maitrise technique de Pascal, belge de Mouscron, ancien du Sanglier des Ardennes a Durbuy, du Relais de Margaux et du château […]...
Ce beau château à fleur de Lot joue les stars gourmandes des abords de Cahors. Aux fourneaux, depuis dix ans déjà, officie Julien Poisot, bon géant morvandiau, qu’on connut chez Tante Louise à Paris, et qui fut formé chez Bernard Loiseau à Saulieu. Adapté avec bonheur aux vertus gourmandes du Quercy, il travaille les produits […]...
Il est le grand chef de sa région. Un discret, un sage, un magicien modeste, qui exerce dans sa vallée non loin de celle du Lot et de Cahors, qui a repris, il y a dix ans déjà, le demeure d’Alexis Pélissou dans ce qui fut l’école de Saint-Médard-Catus. On dit désormais « Saint-Médard », et ce […]...
Ce château magique au bord de Dordogne est, aussi, bien sûr, une très bonne table. Il y a cette terrasse d’été au bord du fleuve, le personnel aux petits oignons, veillé par la bonne fée du lieu, Stéphanie Gombert, plus son chef présent là depuis un quart de siècle, déjà, Stéphane Andrieux. Ce natif de […]...
Ce château féérique au bord de la Dordogne, posé en surplomb du fleuve comme un miracle, joue les forteresses aimables, avec sa pierre blanche, qui tranche avec le bleu de l’eau, si proche, le vert des rives, ses chambres douces, ses salons cosys, ses beaux tissus, ses meubles médiévaux ou plus contemporains, ses cheminées années […]...
« Le voyage d’Ernestine » : c’est, sous une façade de demeure millésimée 1956, la maison moderne de Célia Picoulet, de son frère Adrien et de son compagnon Robin Cannard avec Marine Dale au service, qui rendent hommage à l’ancienne propriétaire du lieu. Dans une ville d’eau où ils ont posé leurs pénates, revenant à leurs origines […]...
Au cœur du beau village de Martel, Adrien Castagné, physique de 3e ligne de rugby et formé en oenologie à Bordeaux, dont le frère Romain gère le moulin à huile familial, a créé un lieu unique : à la fois table moderne et branchée, bar à vin, cave alerte, plus petite épicerie fine. Il y […]...
Voilà, vous le savez si vous nous suivez avec fidélité, l’un de nos bistrots préférés à Paris, l’un de ceux où l’on a envie d’emmener nos cousins de New-York, de Montréal, de Vesoul et de Romorantin, lorsqu’ils montent à la capitale… Non seulement parce que le frichti est bon, et même plus, et le liquide […]...
Ohad Amzallag : le petit roi discret de la cuisine végétale et marine à Paris. Voici installé rue du Vertbois, proche de la place de la République et de la rue du Temple, en lieu et place de l’ancien Pramil, à deux pas de l’iconique Ami Louis, ce briscard israélien, que l’on connut il n’y […]...
Ce devait être l’événement de fin juin. C’est, après les contrôles de sécurité de rigueur et une réouverture discrète au mois d’août, l’événement de de la rentrée. La Tour d’Argent montre désormais son nouveau visage, après quinze mois de fermeture et de patients travaux. Tout a été bouleversé. « Il faut que tout change pour […]...
Ils y sont, à l’heure de la transmission : lui, Serge Chenet, MOF 1993, qui fut, deux décennies durant le chef du Prieuré à Villeneuve-les-Avignon, l’autre Maxime, son fils, passé chez Troisgros à Roanne, chez les Pourcel à Montpellier, à l’Hôtel de Paris à Monte-Carlo et chez Jacob au Bateau Ivre côté Courchevel et Bourget […]...
Ils ont bien pris la mesure du Luberon, se bâtissant un lieu d’exception, avec ses cinq chambres délicieuses, deux gîtes, un vaste jardin, une piscine, des oliviers, des figuiers, sur 3,5 ha, à l’écart du village de Bonnieux. Un cocon 3 étoiles ? Il y a de ça. Après leurs années corses à Calvi, leurs […]...
Mais comment fait-il ? Venir déjeuner chez Vincent Petron, c’est prendre un bol oxygène, recevoir un déflagration d’adrénaline en pleine gueule sans crier gare, avoir droit à sa dose de vitamines A, C et D. Vrai : un repas chez lui devrait être remboursé par la Sécu. Mieux que le Prozac et l’Effexor, un coup […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.