Bistrot des Deux Théâtres
« Paris 9e: une valeur sûre »
C’est la perle du groupe Dorr, on l’a dit.De fait, rien n’a changé, ni l’offre, ni les prestations, ni les prix, ni le décor, ni le public, ni le service amical et complice. Pour 39 €, tout compris, apéritif, eau, gamay de l’Ardèche de Duboeuf fruité comme l’onde compris, avec un personnel qui sourit, quelque soit l’heure, voilà donc une valeur sûre dans un monde qui bouge et un Paris qui bascule dans la mode et l’inflation.
Ici, avec le conseil du maestro Jouteux, la tradition se renouvelle et s’allège, les produits restent de qualité. La terrine de poireaux au foie gras façon « pressé » ou le foie gras tout court au naturel, l’artichaut frais (de Paimpol) et l’oeuf poché, les douze escargots de Bourgogne ou le croustillant de chèvre au basilic font des entrées toniques.
En met de résistance, c’est le solide tartare frites préparé au moment ou le rognon de veau avec sa moutarde à l’ancienne, ses épinards frais. ou la belle sole meunière, cuit à la plancha, au riz pilaff. En dessert, on hésite entre profiteroles au chocolat minute et glace vanille, baba au rhum, millefeuille craquant ou soufflé glacé au Grand Marnier. On l’oubliait: le café (Lavazza) est compris!
Comme d’habitude, jamais déçue, quoique …….
Je n’ai pas eu mon dessert préféré : soufflé glacé au Grand-Marnier
Une catastrophe…véritablement à éviter de toute urgence. Gâteau landais en Entrée servi froid…sauce improbable mais pas maison, rognons en plats immangeable … Durs, nerveux trop cuits, j’ai tout laissé dessert, mousse au chocolat qui ne porte bien son nom que sur deux centimètre avant de se transformer en crème liquide pleine d’eau… Le tout avec un service bâclé …impersonnel et qui n’a pris aucun compte de mon mécontentement absolu…Bref même une brasserie de gare de bas étage aurait cuisiné ces plats simples de meilleurs façon et peut être avec des produits qui ne seraient pas tous sortis du congélateur et se serait donner la peine de faire elle même les sauces…