Triperie Mussard
« Paris 16e: la tripe, c’est (toujours) Mussard »
Article du 22 septembre 2014
Après lui, qui? En tout cas, Didier Mussard continue de ravir les gourmets du 16e, qui arpentent sa rue gourmande, si riche en belles boutiques de bouche de toute sortes, avec ses abats tout frais. Son rognon, son ris et son foie de veau, ses tripes, sa langue, sa tête ou sa cervelle font toujours partie de ses merveilles tripières. Mais Didier, qui annonce sa retraite pour dans deux ans, vend aussi jolies viandes fermières, comme bel Angus labellisé, ou encore ce jambon persillé à fondre. Un lieu étroit par la taille. Grand par le coeur.