Teryalki de limousine © GP
Le Divil ? Ne cherchez pas plus loin qu’une faute d’orthographe (« divil » au lieu de « divin ») commise par l’ancien patron pour expliquer le nom étrange de cette table séductrice façon taverne boisée et empierrée, dévolue aux belles viandes maturées. Stéphane Balluet, qui veille sur le lieu depuis quinze ans, en a peaufiné le décor, soignant […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.