Londres John Stephenson et ses melons © Maurice Rougemont
Il est mon Tony Armstrong Jones. Qui illustra le Nouveau Londres (Plon, 1962) de Paul Morand, traquant dans le neuf visage de la capitale londonienne le visage rieur de l’Angleterre éternelle. A Saint James, Maurice Rougemont s’en est donné à coeur joie. « Saint James était la patrie des excentriques. A leur amour de l’excentricité seul […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.