5 raisons de ne pas louper le dernier Etgar Keret
Article du 23 août 2014
- c’est le livre le plus drôle de l’année
- Il œuvre, sans le dire, pour la paix universelle et non seulement au Proche Orient.
- Il est truffé de bons mots et d’aphorismes à ressorts, genre : « ce n’est pas parce qu’on est paranoïaque qu’on est pas persécuté ».
- Il conte la jeune vie d’un jeune père et sept ans de sa vie à Tel Aviv comme une expérience universelle, permettant à tout le monde le monde de s’identifier à lui.
- Il réhabilite à la fois l’autobiographie parcellaire, le journal intime et la nouvelle instantanée.
Sept années de bonheur, d’Etgar Keret (l’Olivier, 197 pages, 18 €).