La Primatiale
« Nancy: les modestes de la Primatiale »
Article Archivé
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Anne-Sophie Weber et Bertrand Frémion, qui ont travaillé, elle, au château d’Adoménil et, lui, à la Lorraine à Zoufftgen mais aussi à la Klauss à Montenach, ont repris cette demeure gourmande d’une rue passante, riche en jolies adresses, jouant le menu sage, les prix tendres et les propositions renouvelées. Le cadre est simple, avec de skaï et banquettes, la terrasse d’été a du succès, le service est rapide autant que souriant. Côté mets, on joue là le classique sage sans manière. Tartine de chèvre chaud au miel, gaufre de pommes de terre au saumon fumé, dos de cabillaud sauce vierge et compotée de fenouil ou coeur de faux-filet de boeuf grillé au beurre persillé et frites de polenta se goûtent avec plaisir. Ils jouent aussi le plat à emporter en service traiteur. Côté desserts, soufflé chaud à la mirabelle et irish coffee sont deux classiques font bien tenus.
Bonjour l’article n’est maintenant plus d’actualité. Les propriétaires ayant changé deux fois depuis celui-ci. La gamme de prix non plus n’est plus la même. En vous remerciant
Je suis déçu par cette adresse aux notes assez bonnes dans tous les commentaires. Pourtant tout est ici très moyen et les sauces en sachet soulignent le manque considérable d’intérêt pour la cuisine et pour la clientèle.
Je suis allé déjeuner plusieurs fois à cette adresse qui m’a particulièrement plut. Ne cherche pas à « avoir l’air » mais assurant des produits de qualité à des prix toujours raisonnables et souvent une petite attention personnalisée qui met à l’aise et donne le sourire.
C’est bien et efficace; Des jeunes restaurateurs avec du talent.