Terroir Parisien Palais Brongniart
« Paris 2e: Alleno, prince du terroir (parisien) »
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Yannick Alléno © GP
On y est allé très vite. On y est retourné histoire de voir ce que le lieu devenait. Chic: le beau Yannick était là. Reste que le lieu marche tout seul, avec et sans lui, avec une équipe de salle vive et rodée, un maestro charcutier qui connaît son métier, plus une carte alléchante et qui tient ses belles promesses.
Planche de charcuteries © GP
Ce qu’on trouve là? Du joli, du savoureux, du frais, du fait maison et du bien choisi, bref, du terroir parigot, comme l’indique l’enseigne dans un cadre de bistrot moderne avec une kyrielle de mets joliment énoncés qui donnent envie de tout goûter.
Poireaux vinaigrette © GP
Le pâté en croûte, le jambon de Paris, le saucisson, la saucisse de foie, les formidables poireaux vinaigrettes s’accompagnent d’un pain croustillant, de rillettes de crabe au cresson. On aime aussi le crozes hermitage rouge et blanc signé Chapoutier-Alléno et le pot au feu de volaille, comme le boudin (de Parra) avec sa jolie purée.
Pot au feu de volaille © GP
In fine, on craque pour le Paris-Brest avec sa crème au beurre praliné à fondre et la sablé aux fraises de plein champ. Ce terroir parisien façon Bourse, signé Alléno? On l’aime d’amour…
Paris-Brest © GP
Avec souvenir d’un bon diner il y a un an, nous sommes retournés hier soir en toute confiance.
Lors de l’accueil, d’abord par une serveuse puis par la responsable de salle , nous indiquons n’avoir pas réservé (nous sommes 2) la salle est vide pour moitié.
Après vérification, on nous indique que nous pouvons diner ,qu’il y a de la place ??
Après de longues minutes d’attente on nous apporte 2 cartes (plutôt défraîchis et tachées)
Nous choisissons un paté en croute
Une tranche posée telle quelle dans l’assiette avec mini pot de cornichons , pas grand intérêt
goût quelconque et sec
Mon ami a opté pour « le caviar du pauvre » (drôle d’appellation !) en fait lentilles servie dans une boite (caviar) avec crème fraiche et 3 ridicules blinis racornis
La suite n’est guère mieux cabillaud /purée de patate douce , présentation dans l’assiette digne d’une cantine scolaire qui aurait souhaitée faire du « zèle » .Pour ma part souris d’agneau cuite et recuite …
4 verres de vin dont le service fut très étonnant d’abord servi très très chichement au quart du verre à peine , puis lors du 2ème verre quasiment rempli à ras bord ??? comique si il n’était facturés 9€/verre
Nous n’avons bien sur pas pris de dessert , pressés de quitter cet endroit
Après avoir demandé l’addition , nous demandons à notre serveur si le chef a changé depuis l’année dernière ce dernier nous répond que oui effectivement le chef à changé
Nous lui faisons part de notre ressenti par rapport à ce mauvais diner facturé 97 €
Ce à quoi il répond qu’il en est conscient et qu’il ne sait même pas à qui remonter ces informations
Nous ne sommes pas les seuls dit il à lui faire ce genre de remarques
En conclusion restaurant à éviter de surcroit avec toutes les très bonnes tables à proximité
(BAT, caillebotte, l’office…)
Déjeuner 4 personnes le 28 octobre. Endroit très sympa. Verres et couverts pas nets, trace de calcaire et mal essuyés. Bousculés pendant tout le repas sans un mot d’excuse. Oeuf trop cuit dans la tarte à l’oeuf, par ailleurs insipide. Boudin purée ok. Nabvarin ok. Poule au pot fade. Pas retrouvé les commentaires de Pudlo. Avantage! ? De l’anonymat
Sans retour.
Yannick Alleno, après un incroyable Déjeuner au Meurice il y a quelques années, alléché par une superbe émission de télévision, chaine ?, je voulais absolument retrouver les effluves, les goûts le rafinement qui sommeillait dans mes neurones gourmets.
L’endroit est vraiment bien, le public sympathique, beaucout afficionados.
L’accueil en entrée de salle exquis.
Mais arrivée en table petite déception, la jeune fille qui semblait si embarrassée par le service après avoir fait tombé, de la vaisselle, des couverts et un verre, en servant une autre table, lorsque je lui ai demandé quel poisson à la carte?, m’a annoncé qu’il n’y avait pas de poisson, ma grande découverte est qu’il y avait du poisson.
Entrée, nous commandons du foie gras et une terrine de foies de volailles, le foie gras, la gelée caoutchouc latex avait malgré un goût très sucré une amertume qui ressemblait à l’arnica que ma grand mère me mettait sur les ongles pour éviter que je ne me les rongeât.
Le paté de foies de volailles, assez indigeste trop de gras l’assaisonnement digne d’une charcuterie de petite campagne, puis canard, cabiillaud et bouillabaisse, .
Je ne voudrais pas tirer sur le pianiste, mais à part une cuisson à l’excellence du cabillaud, le canard réduit entre lièvre à la royale et ballotine, ave la peau à peine cuite autour façon couenne de jambon, insipide, les pâtes aux noix baignaient dans l’eau de cuisson, la bouillabaisse, heureusement intitulée à la parisienne, est servie façon tête de veau bouillon clair, pommes de terre à l’eau, des trançons d’asperges type balai, et que sais je encore avec des tronçons de poisson, visiblement je préfère la mode marseillaise. Le café est bon.