Au Pain de mon grand-père
« Schiltigheim: les pains de Patrick »
Patrick Dinel, as des boulangers d’Alsace, est partout. A Strasbourg, dans la Krutenau, route de Mittelhausbergen, à Colmar – sans omettre à Toulouse – et désormais à Schiltigheim, dans une échoppe de taille « normale », mais avec une petite entrée qui laisse à peine passer les queues immenses et un vaste labo où se mitonnent quelques uns des pains divers du moment, tous pétris au bon levain travaillé avec patience et lenteur, cuits dans un four réfractaire. On sait que cet ancien banquier, qui travailla pour LVMH, et redressa jadis les Bretzels Burghard, est devenu roi du pain par par passion. Sa tourte de meule, ses baguette craquantes au levain, son pain aux figues ou aux abricots, ses viennoiseries au beurre de baratte AOC Charentes/Poitou, son pain aux céréales, sa ficelle, sa ciabatta, sa couronne d’épeautre, ses mini-kougelhopf, comme son chaperon au seigle, son streussel, son chinois, ses bretzel ou ses pains aux raisins font de Patrick Dinel et de son fils Bruno, des maestri du genre.
Bonjour,
En ce moment,(épidémie coronavirus)il n’est pas logique que la personne qui sert le pain, soit la même qui encaisse.Cette boulangerie à très gros débit devrait avoir une personne qui s’occupe exclusivement du service du pain, et une autre qui s’occupe du paiement.
Question de bon sens?