Entrée du Friedrichs Bad © GP
Rien n’a changé ou presque depuis que Thomas Mann venait y prendre les eaux, qu’Hermann Hesse y rêvait aux grands arbres du parc, que Dostoïevski imaginait la frénésie du « Joueur » dans les salles chamarrées du casino. Ce dernier, dans les bâtiments néoclassiques de la Kurhaus est toujours, selon le mot de Marlene Dietrich, « le plus […]...
Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain.