Al Ajami
« Al Ajami (Paris 8e): voyage gourmand Paris-Beyrouth »
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Cette institution libanaise ne déçoit pas. Elle est ouverte tous les jours, sert en continu et avec le sourire. On vient pour l’accueil adorable – même si le maître d’hôtel est un brin autoritaire -, comme pour le cadre dans les rose-rouge et la cuisine aux saveurs délicates et relevées. Les mezzés chauds et froids, comme « le mille et une nuits » (à 34 € par personne à partir de 3) permettent de faire joliment le tour de la question.
Mousse de pois chiches à la crème de sésame, caviar de lentilles jaunes mitonnées au cumin, moutabbal, labné, tabloué, fatouche, exquis jawaneh (ailes de volaille sautées à l’ail, citron et coriandre, servies des frites à la peau) et arayes (chausson farci de tartare d’agneau grillé au feu de bois), chich taouk, brochettes d’agneau de Sisteron marinées aux épices, ou jolie glace au lait avec ses pistaches concassées façon Al Ajami (qui peut aisément se passer de ses rondelles de bananes), baklava ou moulahabieh font voyager en finesse.
Je suis allé plusieurs fois, et à chaque fois je suis très décu, le restaurant est globalement sale, le service n’est pas du tout gentil et accueillant, la nourriture globalement moyenne et tiède.
Chaque fois j’en ressort déçus. je ne retournerais plus dans ce restaurant ou les clients dérangent et se font maltraiter,