Le Pavillon Petrus au Grand Hôtel
« Gérardmer: Pétrus le raffiné »
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Le Grand Hôtel des Remy, qui constitue, depuis vingt ans, le QG des stars qui viennent assister à Fantastic’arts, le festival du film fantastique, on vous en déjà parlé. Claude et Fabienne Remy, ont transformé ce palace de montagne en hôtel moderne avec spa avec ses trois tables gourmandes. Vous connaissez déjà l’Assiette du Coq à l’âne, avec sa cuisine rustique, chic et soignée à prix modéré. Il y a aussi le Grand Cerf pour les repas de pensionnaire chic dans une atmosphère ouatée, enfin le Pavillon Pétrus, qui, ces temps ci, fait des étincelles.
Pétrus: c’était le surnom de Pierre Remy, le grand père de Claude l’actuel propriétaire, qui lui a dédié ce chic Pavillon à la déco un peu russe, bâti en avancée sur le grand jardin (enneigé en saison) de l’hôtel, où l’on prend place sous la lustre géant de Murano et goûter une cuisine lorraine nouvelle vague de haute tenue.
Le chef Thierry Longo, ancien du Moulin de Mougins et de chez Issautier, à St Laurent du Var, y mitonne des mets vifs, précis, rigoureux et fins, qui savent capter l’esprit de la montagne sans s’y enfermer. On goûte ainsi, en se pourléchant, le persillé d’anguille fumé aux jeunes poireaux à la crème de raifort et au caviar ou les escargots de Cleurie en cromesquis au ris de veau et à la crème d’ail des ours.
Il y a encore la matelote de perche de Meuse et anguille avec ses gaudes façon quenelles au cresson, le gigot d’agneau de lait truffé servi avec sa cassolette de legumes du moment, enfin les desserts d’enfance (Lorraine): vacherin revisité, coupe compotée aux mirabelles et gelée de bermote ou giotttines de Fougerolles au biscuit Sacher.
On n’oublie les jolis crus de la toute voisine Alsace (riesling de Sparr, pinot noir “ la Limite” de Lorentz), ni de Bourgogne ou du Bordelais, ni, bien sûr, le service appliqué et enthousiaste qui donne envie de prendre ici pension. Réservez !
bonjour
nous sommes aller dimanche midi dejeuner au grand hotel avec un groupe de 35 personnes tres beau restaurant mais service deplorable aperitif compris dans le meu mais non servi nous etions a notre table les 3 derniers servi l assiette ne ressemblai a rien certaine etait bien dresser et les trois qui manquaient etaient servi en vrac a la louche meme chez nous on fait mieux le cafe servi dans des gobelets en carton pour un restaurant de cette importance sa ne se fait pas pour se faire pardonner de l aperitif on nous a servi du champagne au dessert mais la encore un mauvais point nous avions des grandes flutes pour certaint et d autre des flute vraiment miserable alors je ne vous ferrait pas de propagande si vous n etes pas capable de faire un service correct vous n acceptez pas les groupes
La cuisine que nous goûté vendredi 11novembre n’a rien à voir avec ce que décrit Gilles Pudvlowski .
Menu à 58 euros; foie gras sans intérêt (un cube de 1.5 cm de côté), poisson qui remplaçait les coquilles Saint Jacques appelé « loup » (2cm sur 2cm sur 1.5 cm d’épaisseur) , sec avec la peau et les arêtes dans une sauce brune à base d’écrevisses sentant le « brûlé » (un bol de sauce pour un si petit morceau de poisson).
Une viande ( chateaubriant) sèche, trop cuite ( on avait demandé une cuisson saignante) avec des traces oranges servant de légumes.
Un dessert à pleurer de rire (la pomme soufflée est techniquement bien faite ) mais que dire du goût…
Nous avons conservé une bonne note aux vins et aux chocolats et pâtes de fruits de la fin.
Un repas indigne d’un restaurant de ce niveau.
Le cadre « impressionnant « ne peut pas compenser une cuisine si déplorable.
J’ai demandé à voir le chef mais sans résultats. Il ne devait pas être présent bien qu’on m’ai dit le contraire.
Ces remarques rejoignent les remarques faites sur certains restaurants de Strasbourg encensés par Gilles Pudlowski qui jouent sur leur notoriété passée et qui se révèlent très moyens .