L'Assiette du coq à l'âne
« Gérardmer: l’Assiette du Coq à l’âne, le bon coût du Grand Hôtel »
L’accueil © Maurice Rougemont
C’est le bon coût du Grand Hôtel : un grande salle avec son haut plafond aux airs de chalet boisé, sa cheminée, sa rôtissoire. On se régale de choses douces et bonnes, généreuses et savoureuses, qui se distillent selon deux menus en forme de bonnes affaires ou au gré d’une carte appétissante.
Le service du vin © Maurice Rougemont
Ce soir là, le menu du marché annonce feuilleté de jambon à l’emmenthal, filet de raie au beurre noisette (avec son riz blanc, la raie servie désarêtée), la délicieuse nage de quetsche aux épices.
La cheminée © Mauric Rougemont
Il y a aussi la soupe au caillou, la tartiflette, le jambon à l’os et sa râpée de pommes de terre, les croûtons de munster avec leur salade aux lardons ou le hamburger du bûcheron, plus la raclette. Au dehors, la neige tombe à fins flocons, mais on s’en moque. La chaleur est dans les cœurs et sur l’assiette.
Plats © Maurice Rougemont
Il y a encore le mignon de porc en croûte vosgienne, la tête de veau vinaigrette, la tatin de joue de bœuf aux carottes et la côte de veau de lait forestière, avant la crème brûlée aux myrtilles. Voilà une belle cuisine de montagne, servie avec le sourire, flanque de vins à tous les prix. Le givry de Faveley, au domaine de la Framboisière, passe là dessus comme un élixir de jouvence.
Ambiance © Maurice Rougemont
Bonjour,
De passage à L’assiette du Coq à l’âne le 2 juillet 2013.
Arrivés à 12h30: attente très longue avant d’avoir notre entrée (foie gras mi-cuit) .Pour le plat (souris d’agneau) moins d’attente.
Puis pour le dessert attente très longue avant de pouvoir le commander et attente encore pour avoir cette coupe de glace / sorbet (la pistache n’a pas de goût???)
Pour régler c’était plus rapide….
Le problème est que les 3 serveurs n’ont pas de tables attitrées et de ce fait le « service » n’est pas à la hauteur!! Sur la terrasse très agréable , au bord de la piscine, nous y avons passé 2h30….