Spaccanapoli

Massimo Petrone et les antipasti © GP

Evidemment que vous la connaissez cette maison d’angle genre trattoria jaune dans les tons stuccos avec ses photos en noir et blanc rappelant les grandes heures du cinéma à l’italienne. La maison s’appela Il Sardo, Napule E, puis Bocca di Rosa. C’est désormais Spaccanapoli, pour préciser d’où vient le patron. Massimo Petrone, natif de Naples, a en effet dédié la demeure à la grand rue de sa ville natale. La formule du midi fait un tabac. Le soir, on joue la carte charmeuse. Dans tous les cas, on se régale de choses bonnes, simples, sans chichi, qui revendiquent les saveurs de la Campanie.

Pizza Spaccanapoli © GP

Linguine au citron © GP

Légumes grillées et charcuteries en antipasti, exquises pizzas,  dont la Spaccanapoli avec sa mozarella fumée, sa pâte fondantes, pâtes délicates et bien cuites, mais les linguine al pesto ou  papardelle aux saint jacques, cèpes et tomates. On ajoute les gnocchi à la sorrentino, les penne à l’arrabiata, les petits plats du jour et le joli Piedirosso Plutone du domaine Ocone qui se boit tout seul et tarifé sans méchanceté.

Linguine au pistou © GP

Pappardelle aux saint jacques et cèpes © GP

Tiramisu © GP

Un bémol pour le tiramisu un poil sec, manquant de mascarpone, donc de crémeux. Et un plus pour l’ambiance guillerette, le service mené avec allant par le beau Massimo qui met de la vie dans la maison.

Ambiance © GP