Pudlo Alsace 2013: le Palmarès
En exclusivité pour nos lecteurs, le palmarès complet du Pudlo Alsace 2013 (éd. Michel Lafon), qui paraît le 18 octobre en librairie.
Chef de l’année
Jean-Marc Kieny, Hôtellerie de la Poste, Riedisheim
Evénement de l’année
Cédric Moulot et Thierry Schwartz, 1741, Strasbourg
Révélation de l’année
Momoko et Akira Okamoto, le Relais Princesse Maria Leczinska, Marienthal
Jeune chef de l’année
Sébastien Schmitt, le Clos de la Garenne, Saverne
Yannick Germain, Au Boeuf Sessenheim
Accueil de l’année
Eric Fuchs, les Pins, Haguenau
Rapport qualité-prix de l’année
Famille Zinck, Le Cheval Blanc, Niedersteinbach
Jean-Yves Leroux, l’Ecluse 16, Altwiller
Auberge de l’année
Corinne et Yves Metger, Natzwiller
Brasserie de l’année
Francis Staub, le Théâtre, Colmar
Bistrot de l’année
Alexandre Nicola et Patrick Dinel, Le Bistrot du Boulanger, Strasbourg
Table étrangère de l’année
Richard Meier, la Rivière, Strasbourg.
Winstub de l’année
Carole et Pascal Bastian, La Rosselstub, Lembach
Pâtissier de l’année
Eric Hausalter, Hausalter, Saverne
Fromagers de l’année
Caroline et Jean-François Bauer, La Petite Ferme Riedwasen, Sélestat
Bonjour Gilles,
En effet, je corrige : « Chef d’aujourd’hui », et beau succès pour les cuisines de l’Auberge Saint-Laurent à Sierentz. J’ai encore son surprenant kouglof doré et sa confiture de choucroute sur la langue.
Bref, cher Gilles, il est temps de prendre ma suggestion à bras de vente, et de prendre table chez ce diable créatif Davy. Votre avis sur ce quadra passionné qui se planque à Hochstatt nous intéresse tous. Lionel BAMOND, Paris 6e
Merci de votre suggestion. Une remarque importante: Laurent Arbeit n’a pas été désigné « grand de demain » – il est celui d’aujourd’hui. Mais bien « chef de l’année ». Nuance!
Bonjour Gilles,
Votre guide est posé (avec la bible, bien sûr) sur ma table de chevet. Avec bcp d’attention, vos coups de gueule et vos coups de coeur sont suivies de visites gastronomiques et vos papilles ne s’égarent que rarement.
Sur l’édition 2015, je suis en joie d’apprendre que le titre de « Grand de demain » a été attribué à Laurent Arbeit, il le mérite haut la marmite.
Mais, curieusement, je ne retrouve pas le restaurant à Hochstatt Au cheval Blanc de Davy Mathis (Encore un ancien de l’Auberge de l’ill)
Il y a là assurément une graine de « chef de demain », un artiste discret et à débusquer puisque étrangement, il n’apparait pas dans vos lignes.
Bien à vous,
Lionel BAMOND, un amateur voyageur adepte du bien manger.
Signalons aussi la sortie toute récente de votre « France Bistrots », aux Editions de la Martinière.
Roger Feuilly s’en fait du reste l’écho sur son blog, celui-ci intitulé « Tout n’est que litres et ratures » : http://toutnestquelitresetratures.over-blog.com/article-france-bistrots-le-nouveau-pudlo-111202830.html
Georges fut notre jeune chef de l’année, puis notre chef de l’année dans deux éditions différentes. Bis repetita…
Cher Gilles, je suis surpris de ne pas retrouver Georges Flaig dans votre palmarès malgré vos éloges récurrents à son égard, à moins qu’il figurait déjà dans vos palmarès précédents. Tout à fait d’accord concernant Jean-Marc Kieny. En rapport qualité-prix, je pense que l’Auberge du Frankenbourg propose la meilleure formule gastronomique pour un étoilé à un prix imbattable (Menu découverte gourmande en dix services à 69 Euros, 91 avec l’accompagnent des vins). Et pour rajouter mon grain de sel, parmi les chefs méconnus, en devenir, à soutenir, il y avait peut-être Sébastien Buecher à La Vancelle justement, Laurent Arbeit à Sierentz, Loïc Lefebvre à Colmar ou encore Henri Gagneux à Wettolsheim, et même Davy Mathis à Hochstatt.
Et puis il aurait été drôle, instructif et courageux de faire une rubrique des flops de l’année. Par exemple, quel est l’étoilé alsacien qui propose le plus mauvais accueil/ambiance? A vos réponses, j’ai la mienne…