Le Favre d'Anne
« Angers: les couleurs de Favre d’Anne »
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Pascal et Mathilde Favre d’Anne © Maurice Rougemont
Une demeure bourgeoise revue moderne colorée face à la Maine et au château d’Angers: c’est le domaine de Pascal Favre d’Anne. Savoyard de Manigod, comme son maître Marc Veyrat, ce « fou de saveurs » élabore des mets complexes, qui retombent sur leurs pattes. Langoustines, côtes de blettes confites en nem et maïs, sandre de Loire aux carottes et huile de verveine, bar aux girolles et artichauts ou encore pigeon rosé au fenouil et graines de cumin sont du travail d’artiste.
Plats © Maurice Rougemont
On ajoute la tarte aux abricots avec chocolat Valrhona, les poires en Tatin avec sa mousse à la crème d’Isigny et glace façon pâte sablée plus les jolis vins de Loire proposés par la charmeuse Mathilde et l’on se dit qu’on déniche la perle de charme de la ville.
Vue sur la Loire © Maurice Rougemont
Et très très cher, vous n’avez pas idée, cela me permet d’alimenter mes 100 000 km annuel avec ma Rolls et de chauffer mon 40 000 m2 de plain-pied …
A chacun ses formes de jouissances, moi en essayant d’être positif, vous en restant dans le néant le plus total. J’espère qu’un jour, pour vous que ce sera l’épectase !
jean pierre doit etre payer pour dire du bien de ses potes restaurateurs (lol)
sites bidon
Gilles,
Pascal Favre d’Anne va marqué une pause de 9 à 10 mois pour parcourir l’Asie et découvrir d’autres cuisines. Durant cette période Le Favre d’Anne d’Angers sera fermé. Les deux derniers services se feront le samedi 26 juillet 2014.
Même si il y a quelques petits points de détails à revoir, ce restaurant, depuis le départ d’Angers en 1995 de Paul Le Quéré, est une valeur sûre qui redonne à cette ville une réputation gourmande. J’attendais avec impatience l’arrivée dans mon assiette du Sandre de Loire, frais naturellement, et je n’ai pas été déçu, ni par sa cuisson, ni par la qualité de sa chair. Mais peut-être que le fameux client mécontent a-t’il confondu le poisson qu’il a mangé ici avec celui qu’il a l’habitude de mâchonner sur son lieu de travail … très hospitalier à priori.
Dernier hommage, et non des moindres, à Mathilde, amphitryon hors pair, qui concocte d’admirables accords vineux sur la cuisine de son chef de mari, avec des appellations méconnues mais dignes d’intérêts (Cour-Cheverny 2009 de Cyrille Sevin, notamment).
Monsieur « Pascal Favre d’Anne »
je suis navré mais n’ai aucune raison ni désir de mentir et devant témoin (je n’étais pas seul) je maintiens que votre épouse nous a tenu ces propos; effectivement l’arrivage de votre pécheur attitré était déficient ce jour-là. nous sommes mal tombés mais il aurait été plus sage de retirer le plat de la carte. sincèrement vôtre.
Bonjour, ça ne choque que moi que l’auteur se sont trompé sur le nom de la rivière? au plaisir de découvrir votre restaurant sur les bords de Maine! bonne semaine
J’étais assez étonné que dans un tel établissement soit servi du poisson congelé. Là au moins la mise au point est faite et je suis rassuré pour une future escale ici.
Mais comment tenir rigueur au palais de cette personne qui fait du Relais sa table favorite sur Angers …
Monsieur Chevreul, je suis sensiblement affécté par votre mécontentement lors de votre visite dans notre restaurant.
Et je suis également très surpris de vos propos diffamatoires envers mon épouse. J’accèpte les critiques cependant je n’accèpte pas le mensonge. Le sandre de Loire ne vous a peut être pas donné entière satisfaction et j’en suis profondément désolé mais veuillez respecter le travail d’Arnaud Gueret (pêcheur de Loire professionnel) qui se lève tôt pour me rapporter les poissons de Loire. Je vous invite à venir éplucher 6 années de factures et JAMAIS vous ne trouverez un arrivage de poissons congélés dans mon établissement. Monsieur Chevreul, sachez que la critique est facile et que la diffamation est passible …
Il est rare que je ne partage pas votre avis mais permettez-moi une exception, de taille. Un service prétentieux avec interrogation après les amuse bouche pour savoir si nous avons deviné (sic…). Un sandre bouilli à texture de buvard totalement insipide : le comble étant que, comme nous en avons fait la remarque à Madame qui nous demandait nos impressions à notre départ, celle-ci nous a répondu qu’elle n’en était pas étonnée car faute d’approvisionnement habituel il s’agissait de poisson congelé… no comment. Un plat peut se retirer de la carte provisoirement. Jamais plus.