Frémont
« Dijon: la tropézienne de Frémont »
Article du 12 septembre 2012
On fait volontiers la queue chez Frémont pour la baguette du dimanche, les pains complets ou les diverses variétés aux céréales. Mais la belle tarte tropézienne – qu’on nomme «nid d’abeille » en lorraine, vaut l’emplette : généreuse et bien crémeuse avec sa grosse pâte briochée légère. Comme d’ailleurs son pain d’épice artisanal, ses jolis cakes, ses classiques pâtisseries (mille-feuille, meringues, éclair ou tartes aux fruits de saison). Cette maison de tradition ne déçoit pas.
J’ai un avis bien meilleur à ce sujet, une nouvelle équipe, plus agréable, à l’image des pâtisseries cette fois. Vous devriez retenter l’experience. Belle journée.
Si les pâtisseries sont bonnes et agréables, l’accueil reflète parfaitement « l’esprit » dijonnais: froid, inexistant, exécrable….. à noter la présence d’une jeune fille particulièrement inapte et une « gérante ? » atteinte d’une surdité « beethovenienne » volontaire et surprenante…
Suite à un premier et dernier passage effectué le 10 Août 2013