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La Coquerie au Lecoq-Gadby

« Rennes: Gadby le magnifique »

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Article du 26 mai 2012

Une halte de charme au cœur de Rennes, un brin à l’écart du centre, avec son jardin policé, son ex-salle de bal, ses salons douillets, ses chambres modernes, ses installations écologiques, son sauna pour la détente: c’est Lecoq-Gadby, institution en mutation sur laquelle veille Véronique Brégeon avec amour. Les Dreyfusards s’y retrouvaient pour mettre leurs idées en commun durant « l’affaire » qui bouleversa la IIIe république. Les familles rennaises s’y réunissent désormais pour leurs communions ou leurs mariages.

Mais la demeure est également une très bonne table, sous la houlette de Pierre Legrand, qui fit des stages chez Alain Passard, Senderens, au Taillevent et au George V avec Philippe Legendre. Foie gras de canard de Maure de Bretagne aux artichauts violets et cacao acidulé, cannelloni d’asperges et langoustines, homard rôti avec ses morilles au vin jaune, turbot poêlé aux asperges et pâte de citron sont des mets vifs, qui parlent le langage de la vérité.

Il y a le service policé, la carte des vins pleine d’à propos (saint-aubin de chez Colin) et les frais desserts de saison (comme la tarte aux fraises pistachées et sorbet au yaourt). Bref, une maison à vivre en liberté.

La Coquerie au Lecoq-Gadby

156, rue d'Antrain
35700 Rennes
Tél. 02 99 38 05 55
Chambres : 195-415 €
Menus : 28, 35 € (dej.) 49, 65 €
Carte : 65-85€
Site: www.lecoq-gadby.com

A propos de cet article

Publié le 26 mai 2012 par

La Coquerie au Lecoq-Gadby” : 5 avis

  • calimero

    Finalement, ils ferment… Les visiteurs dépités avaient raison et Mme Brégeon tort !
    Courrez vite dans les bonnes tables rennaises, les vraies

  • Calimero

    Mme Brégeon, propriétaire du restaurant réagit de façon très curieuse aux commentaires de plusieurs clients insatisfaits. Elle y ajoute une insupportable note de dénigrement : c’est un « pourrisseur qui sévit ailleurs » ; on ne sais d’ailleurs où… Pour les lecteurs sachez qu’il existe à Rennes et dans les environs d’excellents restaurants gastronomiques (Guehennec, Aozen, Cour des Lices, Le Saison, l’Auberge d’Acigné, Les Carmes, Gisbert, etc…) où vous pourrez superbement diner, discuter avec les cuisiniers sans risquer l’oukase si vous émettez la moindre critique. Ceci s’appelle de la cuisine démocratique
    Bons diners

  • Bonjour,

    En effet nous avons un nouveau chef depuis 2 ans, Julien Lemarié, ancien du groupe Yannick Alléno et précédemment à la tête du 1947. Il a gardé l’étoile michelin et propose une alliance entre produits d’exception du terroir breton et saveurs d’Asie (avec un penchant pour les algues bretonnes).

    Pour vous faire une idée sur le changement de cuisine, rendez-vous sur le site du restaurant

    PS : l’avis ci-dessous est un pourrisseur. On a pas réussi à l’identifier et son commentaire est présent sur tout les sites…

  • nick

    Ce qu’il faut savoir, c’est que Pierre Legrand est parti… et on peut comprendre le désarroi du précédent lecteur ! Plus rien à voir tant au niveau gastronomie que vins. terrible

  • Marchand

    Déçu

    Après un accueil agréable, le serveur nous annonce notre menu composé de 5 plats accompagnés des vins appropriés.

    Le premier plat, des coquilles saint jacques est apporté mais le serveur ne viendra nous servir la vin, un Bourgogne, très bon, qu’une fois le plat terminé accompagné d’un laconique : « excusez-moi je vous ai oublié ». Nous buvons tranquillement notre vin en attendant le deuxième plat et l’attente étant assez longue nous finissons nos verres. Le serveur enlève les verres. 10 mn après le poisson arrive, nous le mangerons lui aussi à l’eau. Le turbot est froid …

    Un mariage a lieu dans une autre salle, la musique raisonne dans notre salle, tous les convives haussent le ton.

    Avec le premier plat de viande, nous est proposé un Gaillac servi en carafe, le serveur : « le vin est un peu fermé, aérez le bien dans votre verre avant de le boire » Il nous sert alors deux verres avec grande parcimonie. Pour ne pas gâcher trop le repas, nous prenons le parti d’en rire. Nous demandons une « carafe d’eau » pour accompagner le deuxième plat de viande et l’assiette avec trois petits morceaux de fromages imposés. Un plateau avec du choix serait quand même le bienvenu … Cerise sur le gâteau, le vin accompagnant le dessert nous sera aussi proposé à la fin de notre plat, nous laisserons d’ailleurs les deux verres pleins sur la table. Mais ne nous plaignons pas, la table voisine n’en a pas eu …. Nous aurons durant notre repas eu un verre de vin blanc entre les deux plats de poisson et un fond de verre de vin rouge pour accompagner le premier plat de viande …

    Si il vous est difficile d’assurer simultanément mariage et restaurant, fermé ce dernier mais respecté vos clients.

    Bref une soirée a oublier très vite

Et vous, qu'en avez-vous pensé ? Donnez-nous votre avis !

La Coquerie au Lecoq-Gadby