La Voile Blanche au Centre Pompidou-Metz
« Retour en Lorraine »
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Alphaville à Metz © GP
Retour de ce jour à Metz. Je ne vais pas, une fois de plus, vous faire l’éloge de ma ville natale. « Une ville pour l’âme« , disait Barrès, vous le savez si vous me lisez ici avec fidélité. Sachez qu’une seconde visite au Centre Pompidou II laisse l’émotion intacte. Toujours le choc devant le vaisseau spatial signé Shigeru Ban et Jean de Gastines, sa nef immense, sa première exposition sur le thème « Chefs-d’Oeuvre? » en quatre temps, ses étages qui se chevauchent en se complétant, la vue du 3e, avec cette baie vitrée sur les hautes tours, les clochers, les immeubles lointains de la vieille cité, les touristes qui déambulent comme dans une sorte d’Alphaville messin.
Raysse Beach (fragment) © GP
J’oubliais – en dehors des oeuvres déjà citées ici il y a deux mois, celles de Marquet, de Vlaminck, de Derain, de Matisse, de Friant ou de Magritte, notamment, il y a encore la très colorée « Raysse Beach » années 60 et les clins d’oeil au cinéma contemporain. Avec, puisque nous évoquions Godard (Alphaville, c’est lui, n’est ce pas), cette version culottée de « A bout de Souffle », compressé en 4 mn! Un raccourci saisissant qui raconte une ville (Paris) et une époque (les années 60) en noir et blanc.
Et puisqu’il faut bien se nourrir, et délicieusement, je suis retourné à la Voile Blanche, la table moderne dans l’intention, classique dans la réalisation signée du maestro Jean-Marie Visilit. Le service peut avoir des lenteurs, mais il sait être efficace. Les produits, eux, sont d’évidente qualité, avec une fraîche salade de légumes qui donne le sentiment de croquer le potager. Le hamburger local dit « Stein-Pidou » est toujours une merveille (le directeur de salle est le dynamique Jean-Louis Stein, dont le frère Daniel est le chef à la Chenaudière à Colroy-la-Roche, mais c’est au spécialiste local Steinhoff qu’il est dédié).
J’ajoute que la verrine de queue et joue de boeuf avec ris de veau en gelée façon presskopf et le suprême de volaille aux morilles sont de vrais mets gourmands. Que les desserts (glaces, sorbets ou pâtisseries d’obédience régionale, style tarte au fromage) sont épatants. Quant à la carte des vins ( blanc du château de Vaux mosellan ou lalande de pomerol château Tournefeuille à 38 €), elle constitue une mine de belles trouvailles. Bref, buvons à la santé de Metz retrouvé!
Le Centre Pompidou-Metz est ouvert tous les jours, sf le mardi. Lundi et merc.: 11h-18h. Jeudi-vend.: 11h-20h. Sam.: 10h-20h.. Dim. : 10h-18h.
Nous avons déjeuné à la Voile Blanche ce midi. Afin de profiter du soleil, nous avons demandé une place en terrasse. L’accueil a été très agréable. Malheureusement, nous avons été très déçus par nos assiettes (22 euros chacune). Suprême de volaille aux morilles pour mon mari : sec, sauce fade, tomate cerise pour la déco … Pour moi, Osso Bucco de lotte : poisson très sec, manque de sel, riz sans saveur … Je n’ai d’ailleurs toujours pas trouvé le rapport avec la recette de l’Osso Bucco.
En résumé, la viande comme le poisson étaient trop cuits, les sauces ne venaient pas rattraper le plat et les accompagnements n’avaient aucun intérêt.
Je pense que nous nous serions davantage régalés chez Courtepaille 🙂
Je me suis rendue récemment au musée Pompidou pour y voir la nouvelle exposition 1917 avec des amis..
C’était merveilleux tout comme l’agréable déjeuné au restaurant. Acceuil parfait avec amuses bouches copieux pour faire patienter un peu… puis salade de la mer avec des rougets al-dente et des saveurs succulentes et l’irremplaçable hamburger « le Stein-Pidou »‘ copieux et savoureux. Au dessert une belle assiette de sorbets joliement décorée de fruits frais. Je ne comprends pas bien ce qu’on peu reprocher à ce chef et à son équipe si ce n’est qu’il doit être la cible de personnes jalouses et qu’il doit faire l’objet d’envieux… tout est frais et bon et je ne vois rien de trompeur dans sa carte… même si son « super » Hamburger mériterai plutôt l’appellation de plat savoureux plutôt que l’image « fast-food » que ce mot anglais lui attribue… et pour moi il reste et restera le « caviar » des restaurants où il faut se rendre à metz.
Je me suis rendue à La Voile Blanche la semaine dernière lors de ma visite liée a la nouvelle exposition au musée Pompidou et j’y ai merveilleusement bien déjeuné.
Que les « détracteurs » j’y rendent eux même pour apprécier…après ils pourront toujours critiquer….et je ne crois pas aux accusations tant cet homme est apparemment la cible d’un acharnement et d’une jalousie violente de la part de certain qui lui veulent du mal c’est sûr!….
Il aura toujours mon soutien et celui de mes amis, car c’est un homme bon et courageux et sa cuisine l’est aussi , quoi qu’on en dise …
J’ai adoré sa salade de poissons avec un rouget merveilleux et l’irremplaçable « Stein-Pidou » , un hamburger génial, copieux et savoureux…
Que ce « Benoît » qui vous écrit décline sa réelle identitée (cachée derrière son pseudo) , ce serai amusant de découvrir derrière lui un « confrère » bienveillant et jaloux de ce superbe chef qu’est Jean-Marie Visilit, comme il y en a tant apparemment à Metz….
Quoi qu’il en soit sa cuisine est irréprochable à mon gout et c’est bien là l’essentiel.
Juste un commentaire pour vous inviter à lire en page régionale du Républicain Lorrain en date du 9/6/12, l’article sur un certain restaurateur (qui officie à Metz et à Condé-Northen) aux pratiques qui semblent douteuses aux yeux de la DDCCRF et qui lui vaut un passage au tribunal…..
Moi j’adore… et je suis choquée d’autant de mauvais commentaires…. Je m’y rends souvent (4 a 5 fois par an) car c’est le complément de mon « étape sortie et shopping » à Metz et je n’ai jamais été déçue…
J’aime les plats et le rapport qualité prix est parfait. A la lecture des e-mails précédents je suis révoltée qu’on dise que les serveurs et serveuses sont dignent du « pôle emploi » ou qu’on critique la saveur des plats où l’addition, c’est faux et méchant…
Je soupçonne ceux qui ont écrit ça, d’être des jaloux ou peut être des envieux de ce Chef qui a su donner avec briot a ce bel établissement à la cuisine agréable et originale des lettres de noblesse à des plats et mets du terroir, en parfaite harmonie avec cet endroit merveilleux et au combien original.
Ce restaurant est le trai d’harmonie qu’il fallait a cet endroit.
J’aime l’endroit, j’aime cette table et j’ai beaucoup d’affection pour toutes ces personnes qui y travaillent car j’y ai toujours été agréablement reçue (y compris par les petits serveurs ou serveuses apprenties bien encadrées par les maîtres d’hotel…).
Je reviendrai et je souhaite de tout coeur à ce Chef de rester courageux et fort face a ces critiques méchantes et sans fondement et si vous avez envie de vous faire plaisir chers lecteurs, allez y vous verrez que j’ai raison, l’endroit est « magique » , la cuisine et l’équipe sont délicieux…
Désastreux, jamais nous n’y retournerons .
Mensonges sur les appellations « Grand style »
Dans la marmite qui n’était qu’une assiette à soupe nous n’avons trouvé aucun
champignon des bois comme indiqué, juste de vulgaires champignons de Paris noirs? des queues d’écrevisses toutes rabougries,
la chartreuse de chou avec le pavé de sandre (correct) était tout simplement
un émincé de chou plus que chauffé !!!racorni!!!! ce n’est pas cela une chartreuse, le chef
doit revisiter ses cours !!!!!!!!!!!
Le Stein Pidou n’est même pas digne du Hamburger de chez MD, le potage était accompagné de lard CARBONISE!!!!!, les serviettes étaient en papier,
mais de la plus basse qualité!!!!!!! le sourire , la serviabilité du service étaient absents !!! l’addition était salée au plus haut niveau.
Nous n’y retournerons jamais, autant aller bouff…. dans une baraque à frites et dehors par dessus le marché !!!!! nous ne serions pas plus déçus .
C’est incroyable, il y a un chef dans cet établissement ? ou est-il virtuel ? Les serveurs & serveuses viennent directement de Pôle emploi sans diplomes hôteliers ? c’est incroyable , ce n’est pas leur métier ,
il faut leur faire faire des stages !!!!
M. Pudlowski,
On ne peut pas sérieusement conseiller aux visiteurs du Centre Pompidou-Metz d’aller déjeuner à la Voile Blanche, sauf à vouloir délibérément leur gâcher la visite.
Le restaurant n’a aucune classe, il est cher, la nourriture est grossière, le service aléatoire… Voici mon expérience personnelle (nous étions 9) d’hier :
– Décor (nous étions en salle) : des tables style formica , sans nappes mais avec serviettes en papier, mises bout à bout pour 9 convives dont l’un se retrouve isolé sans vis-à-vis en bout de table…
– arrivés à 12h30, il n’y a déjà plus de homard à la carte. Nous nous rabattons sur la perche du Nil, qui, lorsqu’elle arrive, nage dans un Nil de beurre, sans légumes autres qu’une petite poignée de demi-patates sautées
– Après une longue attente, les plats arrivent au compte-goutte. La sauce des tournedos (foie gras trop cuit) commence à figer avant l’arrivée des perches.
– le vin, qu’on ne nous a pas fait goûter, reste dans son seau… nous finissons par nous servir nous-mêmes tout au long du repas.
– les desserts n’ont rien d’extraordinaire mais sont corrects. On n’a pas encore identifié le « parfum du jour » de la crème brûlée… Comme les plats principaux, ils arrivent au fur et à mesure… et en plusieurs parties : les glaces censées accompagner les gâteaux au citron sont ajoutées après coup sur l’assiette et les couverts d’une partie de la tablée arrivent alors que les autres ont déjà presque terminé.
– café (correct) servi avec une coupelle de cacahuètes enrobées de chocolat tiédasse… On ne m’y aurait pas fait toucher !
– la carte dit « 5% sur présentation de la carte Pass », que nous avions prise… et nous avons en effet droit à une réduction de 5%… sur 1 seul plat-dessert, soit moins d’1,5 euro sur une addition qui se monte à près de 370 euros ! Royal !
– et pour couronner le tout, après qu’on nous ait laissé atteindre seuls, sans merci ni au revoir, la sortie du restaurant, on est pris en charge et escortés jusqu’à l’escalier de sortie par un agent de sécurité, dès fois qu’il nous vienne l’idée de visiter le Centre Pompidou sans en avoir payé l’entrée ! Classe !
Le cadre est magnifique mais l’erreur de casting évidente. Le Centre Pompidou-Metz et ses visiteurs méritent bien mieux que cela.
Conseil aux visiteurs : n’hésitez pas à prendre l’un des fréquents minibus qui relient le CPM au centre-ville en quelques minutes à peine. Vous y trouverez une belle offre de restaurants pour tous les goûts, toutes les envies et toutes les bourses. Nous avons l’habitude de bien manger à Metz !
Et en prime vous pourrez flaner dans Metz, qui vous séduira à coup sûr !
Très bonne visite !
Nous sommes allés mon mari et moi le mercredi 8 novembre visiter le Centre Pompidou Metz et avons déjeuné à La Voile Blanche, ayant lu la critique de Gilles Pudlowski.
le musée est magnifique et vaut certainement le déplacement-nous venions de Paris;
Par contre, je n’en dirai pas autant du restaurant:
nous avons pris en entrée l’assiette de charcuterie lorraine: aucun intérêt, du saucisson coupé en tranches minces comme du papier à cigarettes, une petite tranche de pâté comme on peut en trouver dans n’importe quelle charcuterie, un peu de jambon fumé, correct, sans plus, on est loin du célèbre pâté lorrain, quel dommage de ne pas faire ce délice de la cuisine lorraine !
autre entrée: velouté de potimarron.
Alors là, goût acide très inattendu dans ce genre de velouté où on attend le goût très particulier du potimarron.
Après enquête auprès du serveur, il s’avère que le chef met du jus de citron dans son velouté!!!!
le fameux burger: bon, mais pas de quoi faire 500km!
porcelet en plat du jour: le même genre de plat que n’importe quel café peut vous servir en plat du jour, no comment.
Enfin des oeufs à la neige avec crème à la vanille: je cherche encore la vanille, aussi bien visuellement -pas trace de petits grains- que , surtout, gustativement !
en résumé, ce restaurant offre une cuisine telle que n’importe quel café-restaurant peut vous en proposer, plats corrects mais loin de mériter l’appelation « bonne cuisine »;
Si nous revenons à Metz, nous irons dans la ville qui j’en suis sûre regorge de bonnes adresses