Dolce Vita
« Ajaccio: la douceur de la Dolce Vita »
La situation, face aux îles Sanguinaires, est paradisiaque. Les chambres de grand confort ont été revues avec charme. Elles ont les pieds dans l’eau ou presque. Antoine Cadinu, qui fut le chef historique de la maison, continue le rôle de conseiller alerte. La cuisine se fait classique, légère, sans esbroufe sous la houlette du jeune Frédéric Petris. Langoustines en croûte de filo, soupe de poissons de roche, pavé de loup au poivre de Sichuan avec son écrasée de pommes de terre à l’huile vierge ou épaule d’agneau confite sept heures sont fort bien faits. On ajoute les desserts classiques (millefeuille aux fraises, crème brûlée) et les vins donne toute sa place à la Corse (blanc “ noble ” de Dominique Gentile, rouge Clos du Cardinal du comte Peraldi), comme le service au petit point donne le la d’un repas superbe, dans une salle sobre ou sur la terrasse maritime face à la baie d’Ajaccio.