Schwartz's Deli
« Schwartz’s (Paris 16e): déli NY version Passy »
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Ambiance © GP
Il y a Katz’s Delicatessen, dans le Lower East Side, Carnegie Deli dans Broadway, cher à Woody Allen, Schwartz’s à Montréal, dont on vous a récemment parlé. Voilà Schwartz’s, déli parisien, qui existe aussi 16 rue des Ecouffes dans le « Plätzel », et se démultiplie dans le 17e, au 22 avenue Niel. Avenue d’Eylau, c’est toute la jeunesse dorée, majoritairement séfarade, rejouant « la Vérité si je mens, mon frère »… qui a élu le lieu parmi ses QG de prédilection. A cela quelques raisons: c’est sympa, drôle, bon enfant, à peine snob, pas trop cher, sinon rigoureusement casher, du moins jouant la viande « cashérisée » et bannissant le porc, avec en plus un décor amusant, façon Amérique de carte postale, un brin années 1960.
Salade de pousses d’épinards © GP
Pastrami Sandwich © GP
Il y a les murs de briques rouges, les banquettes en rouge et blancs, les nappes à carreaux, les portraits warholiens de Woody Allen ou de Warhol lui-même, les souvenirs de ciné holywoodien, entre les Marx Brother’s (« Une nuit à l’Opéra »), Paul Newman (« Luke la Main Froide ») et Elvis Presley (« Jailhouse Rock »), les burgers à gogo, les salades pas mal vues (César ou de pousses d’épinards et oeuf poché avec bacon de dinde et champignons frais, plus sauce blue cheese un peu pingre, elle). En vedette: le « best hot pastrami sandwich in town« . S’il est prétentieux, il est plutôt délicieux, avec sa viande joliment épicée, son coleslaw (tout petit, il est vrai), ses frites soufflées (bien vues!), son rien de ketchup. C’est généreux, brave, au moins aussi bon qu’à NY ou Montréal (ce qui n’emmène pas forcément au sommet) …
Budweiser © GP
Tarte aux noix de pécan © GP
En prime la fraîche Budweiser tchèque (brassée à Budwar), l’exquise tarte aux noix de pécan plus sa glace vanille. Le café à l’italienne est impeccable et le service non stop bien pratique… J’y étais hier vers 17h et c’était le grand calme… Alors…
Et bien moi je passe depuis 2ans pas de problème le personnel très sympa jaloux !!!!
Bouffe de masse et grasse, sans saveur, aux prix exorbitant, dans une ambiance d’usine avec un fond sonore bruyant à vous donner des migraines, avec une déco voulant désespérément imiter les enseignes américaines, avec une attente de malade pour manger mal.
La responsable une mégère décolorée grasse comme ses sandwichs qui aboye sur ses clients, ferait mieux de travailler dans une porcherie ou une usine à foie de canard, car son principal soucis est de goinfrer les clients pour les faire déguerpir le plus vite possible et fait des réflexions quand vous ne vous empiffrez pas assez vite à son gout et vous enlève la nourriture alors que vous êtes en train de manger , vous l’avez l’addition avant le dessert en bon pigeon.
Finalement, les clients ne sont que des distributeurs de billets, pourquoi avoir de la considération.Un dernier passage au toilette, et les odeurs d’urine et pas de lavabo extérieur confirment que la crasse et le manque d’hygiène est à la hauteur du niveau infect du service et de la nourriture.
En sortant, vous avez une envie de vomir, vous vous posez la question : la nourriture ou que l’on vous ais pris pour un pigeon ?!
Originaire de Montréal, j’y suis allé. Je suis aussi allé à Katz à New York. Votre Schwartz parisien est très très chère. En plus ils reconnaissent même pas avoir piqué le logo du Schwartz montréalais qui est ouvert depuis presque une centaine d’années. En plus c’est moins bon. C’est tellement dure de trouver de la bonne bouffe sans prétention et pas trop chère à Paris. Quelle blague….