La Grenouillère
« La Madelaine-sous-Montreuil : magique Grenouillère ! »
Il y a les chambres anciennes, mais revues modernes, les huttes dans les bois, la maison de la source et ses suites : trois univers réunis sous une seule appellation, mais si riche, avec sa salle de petit déjeuner sobre, belle, un brin artiste, où l’on goûte les fromages (morbier, comté, mimolette) du voisin Caseus, les confitures maison, comme la rhubarbe à la vanille, les jus qui changent chaque jour (concombre et menthe, carotte et pomme…), le pain de campagne, les compotes, les yaourts.
Ici, on est ailleurs. Les marais de la Canche, le pied du bourg fortifié par Vauban de Montreuil-sur-Mer – qui n’est plus en mer – , la verdure, les jolies demeures blanches avec leurs toits de tuiles de vernissées : c’est la côte d’Opale, cette « côte d’Azur de l’Angleterre », à deux heures de Paris, où l’on vient se refaire une santé, se ressourcer, déconnecter…
Evidemment, les « huttes » avec leur univers à part, leurs grandes baies vitrées ouvertes sur les bois, terrasse, douche à l’italienne en zinc, baignoire de détente cachée, donnent le sentiment de jouer les Robinson Crusoé de luxe, tiennent la vedette. Y dormir, y séjourner, y vivre s’apparentent à une expérience, comme la grande table attenante, à quelques pas dans l’herbe…